Une telle manifestation reste une première à Ajaccio : tous les commerçants se sont mis d’accord pour baisser leurs rideaux toute la matinée de ce mardi 4 février.
Main dans la main, les principaux acteurs économiques de la ville impériale ont décidé de s'associer pour faire entendre leur voix et crier leur désarroi face à un centre-ville qui se meurt, espérant une prise de conscience collective et libre de toute considération politique.
Un moyen, pour eux, de faire entendre leurs voix auprès des candidats en période électorale : "on a le sentiment d’être des laissés pour compte - ils affirment devant l'hôtel de la préfecture - notre détresse ne concerne pas seulement des commerces mais des familles entières."
C’est sur une chanson d’A Filetta que les manifestants sont arrivés devant la préfecture d’Ajaccio, où une délégation de la FACCA a été reçue par le directeur de cabinet du préfet.
Simone commerçante dans la rue Fesch et résidente en centre ville rappelle « qu’elle aime sa ville » et demande « un endroit propre et accessible, sans embouteillages », dans le but de redynamiser Ajaccio.
Céline qui est commerçante et résidente sur Mezzavia témoigne en nous disant « je prends mon véhicule tous les jours et je galère pour me garer, je suis obligée de partir à 8h15 de chez moi pour arriver à 9h30 au travail. Je ne parlerais pas des embouteillages, j’arrive en ville et je tourne pendant une heure pour trouver une place. Pour moi c’est vraiment le manque de places le problème. »
Cela fait déjà de nombreux mois que tous ces acteurs économiques essaient de faire entendre leurs voix. Ils attendent maintenant les résultats d’un AMO (Assistant à Maîtrise d’Ouvrage) lancé en juillet, pour connaître les moyens qui pourront être mis en œuvre concernant le futur parking du centre-ville d’Ajaccio.
Main dans la main, les principaux acteurs économiques de la ville impériale ont décidé de s'associer pour faire entendre leur voix et crier leur désarroi face à un centre-ville qui se meurt, espérant une prise de conscience collective et libre de toute considération politique.
Un moyen, pour eux, de faire entendre leurs voix auprès des candidats en période électorale : "on a le sentiment d’être des laissés pour compte - ils affirment devant l'hôtel de la préfecture - notre détresse ne concerne pas seulement des commerces mais des familles entières."
C’est sur une chanson d’A Filetta que les manifestants sont arrivés devant la préfecture d’Ajaccio, où une délégation de la FACCA a été reçue par le directeur de cabinet du préfet.
Simone commerçante dans la rue Fesch et résidente en centre ville rappelle « qu’elle aime sa ville » et demande « un endroit propre et accessible, sans embouteillages », dans le but de redynamiser Ajaccio.
Céline qui est commerçante et résidente sur Mezzavia témoigne en nous disant « je prends mon véhicule tous les jours et je galère pour me garer, je suis obligée de partir à 8h15 de chez moi pour arriver à 9h30 au travail. Je ne parlerais pas des embouteillages, j’arrive en ville et je tourne pendant une heure pour trouver une place. Pour moi c’est vraiment le manque de places le problème. »
Cela fait déjà de nombreux mois que tous ces acteurs économiques essaient de faire entendre leurs voix. Ils attendent maintenant les résultats d’un AMO (Assistant à Maîtrise d’Ouvrage) lancé en juillet, pour connaître les moyens qui pourront être mis en œuvre concernant le futur parking du centre-ville d’Ajaccio.