« La seule solution pour remonter le moral c’est la victoire » souligne le défenseur Anthony Roncaglia. « On a assez parlé maintenant place aux actes. Il nous faut cette victoire pour stopper l’hémorragie. Il faut que tout le monde soit concerné, plus travailler, rester soudé. Il n’y a pas de problèmes de distance entre certains joueurs, pas de conflits, pas de frictions. On doit tous tirer dans le même sens, on est tous dans le même bateau. Il faut retrouver l’âme, le don de soi. Déjà il faut qu’on reste à 11 sur le terrain ! Quelle que soit la façon dont va se dérouler le match, il faudra garder la tête haute. L’état d’esprit doit primer ».
Le SCB n’est pas en crise, il traverse une mauvaise passe a souligné cette semaine le président du club, Claude Ferrandi. Il n’empêche qu’après avoir flirté avec les premières places voici le Sporting à la 14ème place à seulement 1 point du premier relégable. Face à lui ce samedi à Furiani, le FC Annecy, 13ème, 3 points devant. Une équipe savoyarde qui alterne le bon et le moins bon : une large victoire 3-0 à Pau, une cinglante défaite 4 – 0 à Auxerre et dernièrement un nul sur sa pelouse face au Paris FC, 2-2. L’an passé déjà le Sporting avait connu une mauvaise passe. « On peut y voir une certaine ressemblance effectivement » avoue l’entraineur Régis Brouard. « On avait fini par trouver la solution. Là on cherche toujours à trouver la solution. Le groupe aurait des problèmes ? Dans un groupe il y a toujours des tensions, même quand ça va bien. Il y a toujours des discussions, parfois c’est amplifié. Dans un vestiaire il y a toujours des divergences. Et c’est logique. On doit trouver les leviers et les réponses à certaines questions pour sortir de cette passe. Dans ces cas là on peut faire beaucoup de choses. On a beaucoup écouté et c’est parfois mieux que de parler. On espère qu’on va trouver le bon antibiotique contre le mal. En fait le plus important c’est nous ! La façon dont on va mettre les choses sur le terrain, trouver la meilleure formule. Ça ne sert à rien de se lamenter. Il faut relever la tête, répondre sur le terrain. On n’est plus à l’heure d’essayer, on est à l’heure de faire. C’est vrai qu’on manque d’engagement, qu’on ne va pas toujours au bout des choses mais si on regarde les statistiques, on s’aperçoit que l’équipe a beaucoup couru. Mais une chose est sûre ce n’est pas parce qu’on est dans l’urgence qu’il faut partir à l’aveugle. Le résultat sur le terrain demain, sera la conséquence de ce qu’on va y mettre ».
Le SCB n’est pas en crise, il traverse une mauvaise passe a souligné cette semaine le président du club, Claude Ferrandi. Il n’empêche qu’après avoir flirté avec les premières places voici le Sporting à la 14ème place à seulement 1 point du premier relégable. Face à lui ce samedi à Furiani, le FC Annecy, 13ème, 3 points devant. Une équipe savoyarde qui alterne le bon et le moins bon : une large victoire 3-0 à Pau, une cinglante défaite 4 – 0 à Auxerre et dernièrement un nul sur sa pelouse face au Paris FC, 2-2. L’an passé déjà le Sporting avait connu une mauvaise passe. « On peut y voir une certaine ressemblance effectivement » avoue l’entraineur Régis Brouard. « On avait fini par trouver la solution. Là on cherche toujours à trouver la solution. Le groupe aurait des problèmes ? Dans un groupe il y a toujours des tensions, même quand ça va bien. Il y a toujours des discussions, parfois c’est amplifié. Dans un vestiaire il y a toujours des divergences. Et c’est logique. On doit trouver les leviers et les réponses à certaines questions pour sortir de cette passe. Dans ces cas là on peut faire beaucoup de choses. On a beaucoup écouté et c’est parfois mieux que de parler. On espère qu’on va trouver le bon antibiotique contre le mal. En fait le plus important c’est nous ! La façon dont on va mettre les choses sur le terrain, trouver la meilleure formule. Ça ne sert à rien de se lamenter. Il faut relever la tête, répondre sur le terrain. On n’est plus à l’heure d’essayer, on est à l’heure de faire. C’est vrai qu’on manque d’engagement, qu’on ne va pas toujours au bout des choses mais si on regarde les statistiques, on s’aperçoit que l’équipe a beaucoup couru. Mais une chose est sûre ce n’est pas parce qu’on est dans l’urgence qu’il faut partir à l’aveugle. Le résultat sur le terrain demain, sera la conséquence de ce qu’on va y mettre ».