Il s’agissait de réaliser une enquête orale auprès des vieux ajacciens, travail qui a débuté avec l’association « le Cesit » ce qui a nécessité un peu plus de 18 mois de travail. Christophe Mondoloni nous explique le but de cette démarche :
« Lorsque j’ai perdu mon grand père, je me suis rappelé que je lui avait posé de nombreuses questions sur des noms de personnes ou de lieux. Cela m’est arrivé souvent mais j’ai appris
qu’une association existait, cernait de très près ce problème et effectuait beaucoup de recherches sur la toponymie. J’ai donc décidé de me rapprocher d’elle pour me rendre
compte du travail effectué par ces gens. Raison pour laquelle j’ai donc voulu diligenter une
enquête orale sur Ajaccio, aller à la rencontre des « anciens » qui ont connu Ajaccio entre
les années trente jusqu’aux années soixante-dix. Fort heureusement nous avons trouvé
beaucoup d’Ajacciens qui nous ont parlé de l’Ajaccio d’hier et même d’avant-hier, qui nous
ont renseignés sur les us et coutumes de l’époque, les métiers qui ont disparu aujourd’hui et beaucoup d’autres choses sur cet Ajacciu Bellu… »
Ce long travail a été restitué ces jours derniers et Christophe Mondoloni en a profité pour
organiser cette conférence et parler de ces quarante heures d’enregistrement qui valent leur pesant d’or. Deux heures ont été tirées de ces interviewes avec des histoires croustillantes, intéressantes à plus d’un titre, qui retracent l’Ajaccio d’après guerre.
Une dizaine de personnes de l’association le Cesit sont allées sur le terrain pour recueillir ces témoignages d’un autre âge et la mairie envisage à présent d’exploiter au mieux ces
témoignages afin que les Ajacciens qui le désirent, puissent profiter pleinement de ces heures d’écoute que l’on ne trouve pas dans les livres d’histoire…
« Lorsque j’ai perdu mon grand père, je me suis rappelé que je lui avait posé de nombreuses questions sur des noms de personnes ou de lieux. Cela m’est arrivé souvent mais j’ai appris
qu’une association existait, cernait de très près ce problème et effectuait beaucoup de recherches sur la toponymie. J’ai donc décidé de me rapprocher d’elle pour me rendre
compte du travail effectué par ces gens. Raison pour laquelle j’ai donc voulu diligenter une
enquête orale sur Ajaccio, aller à la rencontre des « anciens » qui ont connu Ajaccio entre
les années trente jusqu’aux années soixante-dix. Fort heureusement nous avons trouvé
beaucoup d’Ajacciens qui nous ont parlé de l’Ajaccio d’hier et même d’avant-hier, qui nous
ont renseignés sur les us et coutumes de l’époque, les métiers qui ont disparu aujourd’hui et beaucoup d’autres choses sur cet Ajacciu Bellu… »
Ce long travail a été restitué ces jours derniers et Christophe Mondoloni en a profité pour
organiser cette conférence et parler de ces quarante heures d’enregistrement qui valent leur pesant d’or. Deux heures ont été tirées de ces interviewes avec des histoires croustillantes, intéressantes à plus d’un titre, qui retracent l’Ajaccio d’après guerre.
Une dizaine de personnes de l’association le Cesit sont allées sur le terrain pour recueillir ces témoignages d’un autre âge et la mairie envisage à présent d’exploiter au mieux ces
témoignages afin que les Ajacciens qui le désirent, puissent profiter pleinement de ces heures d’écoute que l’on ne trouve pas dans les livres d’histoire…