Acteur doué à la filmographie choisie et brillante, Luigi Lo Cascio est l’un des visages incontournables du panorama cinématographique italien contemporain. Né en 1967 à Palerme, en Sicile, l’ancien étudiant en médecine psychiatrique succombera à l’appel du théâtre, qui le conduira jusqu’aux planches romaines de la prestigieuse Académie d’Art Dramatique Silvio D’Amico.
Révélé en 2000 au cinéma par Marco Tullio Giordana qui lui offre son premier rôle, Luigi Lo Cascio interprète, dans le culte I cento passi, l’inoubliable Peppino Impastato, ce jeune sicilien qui osa rompre l’omertà pour s’élever contre la mafia toute puissante. Un rôle profond, dense, qui lui vaudra notamment le David di Donatello du meilleur acteur, la même année. Ce prix prestigieux est le premier d’une longue série, dans laquelle figure notamment le prix Gianmaria Volonté, pour l’excellence de sa carrière d’acteur, reçu en juillet 2011 au festival La Valigia dell’Attore à La Maddalena, en Sardaigne. Une carrière fulgurante qui a en effet permis à Luigi Lo Cascio de tourner avec quelques-uns des plus grands réalisateurs italiens, et qui lui a permis de montrer l’étendue de ses talents, dans des registres allant du dramatique au comique.
Si la collaboration avec Marco Tullio Giordana lui a offert quelques-uns de ses plus rôles au cinéma (du chef d’oeuvre La Meglio Gioventù – Nos meilleures années à Romanzo di una strage – Piazza Fontana), Luigi Lo Cascio est aussi fameux pour sa remarquable prestation dans Buongiorno, notte de Marco Bellocchio, dans la peau d’un des ravisseurs d’Aldo Moro, pendant les années de plomb. Habitué des rôles « engagés », l’acteur sicilien excelle également dans le registre comique : rappelons-nous de son rôle de l’excentrique Manuelo dans Gli amici del Bar Margherita de Pupi Avati.
Luigi Lo Cascio a collaboré avec d’autres grands noms du cinéma italien (Giuseppe Piccioni, Alessandro Piva, Cristina Comencini, Giuseppe Tornatore ou encore Mario Martone), avant de passer à son tour derrière la caméra, en 2012. Son premier film en tant que réalisateur s’intitule La città ideale. Ce « polar moral et écologique », nouveau témoignage de l’engagement de Luigi Lo Cascio, présenté à la dernière Mostra de Venise (27e semaine internationale de la critique), sortira sur les écrans italiens en 2013.
Révélé en 2000 au cinéma par Marco Tullio Giordana qui lui offre son premier rôle, Luigi Lo Cascio interprète, dans le culte I cento passi, l’inoubliable Peppino Impastato, ce jeune sicilien qui osa rompre l’omertà pour s’élever contre la mafia toute puissante. Un rôle profond, dense, qui lui vaudra notamment le David di Donatello du meilleur acteur, la même année. Ce prix prestigieux est le premier d’une longue série, dans laquelle figure notamment le prix Gianmaria Volonté, pour l’excellence de sa carrière d’acteur, reçu en juillet 2011 au festival La Valigia dell’Attore à La Maddalena, en Sardaigne. Une carrière fulgurante qui a en effet permis à Luigi Lo Cascio de tourner avec quelques-uns des plus grands réalisateurs italiens, et qui lui a permis de montrer l’étendue de ses talents, dans des registres allant du dramatique au comique.
Si la collaboration avec Marco Tullio Giordana lui a offert quelques-uns de ses plus rôles au cinéma (du chef d’oeuvre La Meglio Gioventù – Nos meilleures années à Romanzo di una strage – Piazza Fontana), Luigi Lo Cascio est aussi fameux pour sa remarquable prestation dans Buongiorno, notte de Marco Bellocchio, dans la peau d’un des ravisseurs d’Aldo Moro, pendant les années de plomb. Habitué des rôles « engagés », l’acteur sicilien excelle également dans le registre comique : rappelons-nous de son rôle de l’excentrique Manuelo dans Gli amici del Bar Margherita de Pupi Avati.
Luigi Lo Cascio a collaboré avec d’autres grands noms du cinéma italien (Giuseppe Piccioni, Alessandro Piva, Cristina Comencini, Giuseppe Tornatore ou encore Mario Martone), avant de passer à son tour derrière la caméra, en 2012. Son premier film en tant que réalisateur s’intitule La città ideale. Ce « polar moral et écologique », nouveau témoignage de l’engagement de Luigi Lo Cascio, présenté à la dernière Mostra de Venise (27e semaine internationale de la critique), sortira sur les écrans italiens en 2013.
Le programme
Jeudi 17 Janvier
Projections à la Cinémathèque de Corse à Porto-Vecchio, avec l’Université de Corse – FLLASHS
10h15 : projection de I cento passi, Marco Tullio Giordana (2000), 114 min, VOST.
14 heures : Projection de Buongiorno, notte, Marco Bellocchio (2003), 105 min, VOST.
16h15 : rencontre avec Luigi Lo Cascio, animée par Fabien Landron (Université de Corse, Université Paris 3 Sorbonne Nouvelle), autour de la figure de l’acteur engagé, à partir d’extraits de films
20h30 : rencontre avec Luigi Lo Cascio : présentation et projection du film I cento passi, puis débat avec le public
Projections à la Cinémathèque de Corse à Porto-Vecchio, avec l’Université de Corse – FLLASHS
10h15 : projection de I cento passi, Marco Tullio Giordana (2000), 114 min, VOST.
14 heures : Projection de Buongiorno, notte, Marco Bellocchio (2003), 105 min, VOST.
16h15 : rencontre avec Luigi Lo Cascio, animée par Fabien Landron (Université de Corse, Université Paris 3 Sorbonne Nouvelle), autour de la figure de l’acteur engagé, à partir d’extraits de films
20h30 : rencontre avec Luigi Lo Cascio : présentation et projection du film I cento passi, puis débat avec le public
Vendredi 18 Janvier
Projections au Palais des Congrès d’Ajaccio, avec le Festival du film italien d’Ajaccio
Dans l’après-midi, rencontre avec les scolaires
18 heures : projection de Piazza Fontana (Romanzo di una strage) (2012), Marco Tullio Giordana, 120 mn, VOST
21 heures : projection de I cento passi, Marco Tullio Giordana (2000), 114 min, VOST.
Ces deux projections seront assorties d’un échange avec Luigi Lo Cascio.