"Inseme per a Corsica appelle à se joindre à la jeunesse corse, lors de la manifestation organisée par a Ghjuventù Indipendentista, ce mercredi 22 Avril à 14h, à Corti.
En ces temps de négation par l'Etat, de crise politique et économique généralisée, Inseme per a Corsica se tient aux côté la jeunesse de notre pays pour réclamer avec elle, la coofficialité de la langue corse, le statut de résident, le statut fiscal dérogatoire, l'inscription de la Corse dans la constitution, un réel pouvoir législatif et l'amnistie pour tous les prisonniers politiques. En un mot: une vraie solution politique pour la Corse."
Chjama naziunale : Solidarité avec Ghjuventu Indipendentista
La jeunesse corse ne de résigne pas à entériner la politique néfaste de l’Etat en Corse ; elle proteste et a raison car elle est la principale victime de ces errements et que les portes de leur avenir, dans leur propre Pays, leur sont fermées ; hier les jeunes agriculteurs ont contraint le pouvoir à admettre des discriminations par rapport à leurs homologues continentaux : un aveu de taille ! Reste à les expliquer, à les réparer et à les prévenir.
Demain, la Ghjuventu indipendentista appelle à nouveau à manifester à Corti pour rappeler son soutien aux revendications importantes que l’Assemblée de Corse a formulées et portées avec de larges majorités et même l’unanimité. Le refus total de l’Etat de prendre en compte ces exigences démocratiques,- essentielles pour notre peuple- ne peut être admis. Et ne peut que conduira qu’à une détérioration de la situation.
Nous apportons à notre jeunesse en lutte le témoignage de notre solidarité ; nous incitons nos compatriotes à comprendre le bien-fondé de leur démarche et à les soutenir."
Corsica Libera
Corsica Libera appelle ses militants et sympathisants à participer à la manifestation organisée ce mercredi 22 avril 14h à Corti par Ghjuventù Indipendentista. Face au mépris de l'Etat la saine réaction de la jeunesse corse doit être soutenue et amplifiée. La perspective d'une solution politique prenant en compte les droits du peuple corse reste à porter de main, à condition d'opposer au déni de démocratie parisien un front uni et déterminé.
En ces temps de négation par l'Etat, de crise politique et économique généralisée, Inseme per a Corsica se tient aux côté la jeunesse de notre pays pour réclamer avec elle, la coofficialité de la langue corse, le statut de résident, le statut fiscal dérogatoire, l'inscription de la Corse dans la constitution, un réel pouvoir législatif et l'amnistie pour tous les prisonniers politiques. En un mot: une vraie solution politique pour la Corse."
Chjama naziunale : Solidarité avec Ghjuventu Indipendentista
La jeunesse corse ne de résigne pas à entériner la politique néfaste de l’Etat en Corse ; elle proteste et a raison car elle est la principale victime de ces errements et que les portes de leur avenir, dans leur propre Pays, leur sont fermées ; hier les jeunes agriculteurs ont contraint le pouvoir à admettre des discriminations par rapport à leurs homologues continentaux : un aveu de taille ! Reste à les expliquer, à les réparer et à les prévenir.
Demain, la Ghjuventu indipendentista appelle à nouveau à manifester à Corti pour rappeler son soutien aux revendications importantes que l’Assemblée de Corse a formulées et portées avec de larges majorités et même l’unanimité. Le refus total de l’Etat de prendre en compte ces exigences démocratiques,- essentielles pour notre peuple- ne peut être admis. Et ne peut que conduira qu’à une détérioration de la situation.
Nous apportons à notre jeunesse en lutte le témoignage de notre solidarité ; nous incitons nos compatriotes à comprendre le bien-fondé de leur démarche et à les soutenir."
Corsica Libera
Corsica Libera appelle ses militants et sympathisants à participer à la manifestation organisée ce mercredi 22 avril 14h à Corti par Ghjuventù Indipendentista. Face au mépris de l'Etat la saine réaction de la jeunesse corse doit être soutenue et amplifiée. La perspective d'une solution politique prenant en compte les droits du peuple corse reste à porter de main, à condition d'opposer au déni de démocratie parisien un front uni et déterminé.