Ce Festival est organisé par l’Office de tourisme intercommunal Marana-Golo. « Le but de ce Festival, dont l’idée remonte à 2/3 ans, qui va se démarquer des autres festivals, est de mettre en lumière nos villages de l’intérieur » explique Isabelle Giudicelli, présidente de l’Office. « Ce Festival étant gratuit, c’est aussi la manière de montrer aux socio-professionnels de notre territoire où va la taxe de séjour ».
Cette 1ère édition aura pour cadre le village de Monte. « Ce festival qui se déroulera tous les 2 ans, consiste en un parcours nocturne, de 20h à minuit, artistique et poétique unique en Corse » souligne Géraldine Ferralis, Directrice de l’Office de Tourisme Intercommunal Marana-Golo. « Installation, projection, œuvre numérique ou interactive investiront façades, vestiges et églises généralement fermées ou rarement ouvertes au public. Le parcours artistique se dessinera au fil des œuvres, proposant un dialogue entre les visiteurs et le patrimoine afin d’offrir une vision nouvelle de celui-ci et permettre de découvrir le territoire dans sa dimension créative ».
Au programme pas moins de cinq installations lumineuses, sonores ou visuelles en des lieux sacrés, cachés ou en pleine nature avec des œuvres qui vont susciter émerveillement et curiosité et qui proposeront une interprétation poétique et imaginative des lieux. « A l’intersection de l’art, de la nature et de la technologie, le visiteur partira à la rencontre d’un univers magique à la découverte des hameaux de Divina et Carognu » explique G. Ferralis.
Les créateurs de ces œuvres, qui sont mondialement connus, viendront de tous les pays, de tous les horizons.
Le départ du parcours artistique se fera de Divina pour se terminer sur la place du village de Carognu où se dérouleront les soirées concerts. Tout le long du parcours, en divers lieux, des expositions.
Cette 1ère édition aura pour cadre le village de Monte. « Ce festival qui se déroulera tous les 2 ans, consiste en un parcours nocturne, de 20h à minuit, artistique et poétique unique en Corse » souligne Géraldine Ferralis, Directrice de l’Office de Tourisme Intercommunal Marana-Golo. « Installation, projection, œuvre numérique ou interactive investiront façades, vestiges et églises généralement fermées ou rarement ouvertes au public. Le parcours artistique se dessinera au fil des œuvres, proposant un dialogue entre les visiteurs et le patrimoine afin d’offrir une vision nouvelle de celui-ci et permettre de découvrir le territoire dans sa dimension créative ».
Au programme pas moins de cinq installations lumineuses, sonores ou visuelles en des lieux sacrés, cachés ou en pleine nature avec des œuvres qui vont susciter émerveillement et curiosité et qui proposeront une interprétation poétique et imaginative des lieux. « A l’intersection de l’art, de la nature et de la technologie, le visiteur partira à la rencontre d’un univers magique à la découverte des hameaux de Divina et Carognu » explique G. Ferralis.
Les créateurs de ces œuvres, qui sont mondialement connus, viendront de tous les pays, de tous les horizons.
Le départ du parcours artistique se fera de Divina pour se terminer sur la place du village de Carognu où se dérouleront les soirées concerts. Tout le long du parcours, en divers lieux, des expositions.
Isabelle Giudicelli, présidente de l’OTI Marana-Golo et sa directrice Géraldine Ferralis
Le programme
Roof top : « Stratum ». Proposé dans le cadre de la Fête des Lumières 2017 à Lyon , Stratum, du studio de design visuel Chevalvert basé à Paris, est une œuvre permettant de visualiser une géologie éphémère et lumineuse d’un mouvement dans l’espace. Cette installation interactive permet d’influencer un « territoire de lumière » par le geste. Le parcours de la main au-dessus d’une interface de captation se matérialise dans l’espace au moyen de strates lumineuses.
Chapelle St Côme et Damien : « Hara ». Dans la tradition japonaise, le HARA est le siège des émotions et la partie profonde de l’être sensible. C’est aussi la source principale du souffle vital. C’est cette essence spirituelle, cette vitalité séminale que Guillaume Marmin et le compositeur Frédéric MAROLLEAU ont voulu restituer à travers une projection de matière lumière, une expérience intérieure empruntant à l’hypnose, à la contemplation active, à la physicalité du son et à notre soif d’abstraction.
Sentier pédestre Divina/Carognu : « Végétal’Lume ». Érik Barray est vannier, artiste vannier. Il plie, tord, noue, étire, tresse, façonne, tisse, expérimente. Dans le respect des anciennes techniques, il en trouve de nouvelles, explorant à vie les infinies richesses de la matière-osier. Il crée des formes vives, inventives et aventureuses donnant à l’art de la vannerie ses lettres de noblesse.
Ruines de l’église de l’Immaculée Conception : «Projections d’images ». Une réalisation de la société DIAZZO, née de la rencontre de deux passionnés de l’image, un sérigraphe et une photographe.
Eglise de l’Immaculée Conception : «Terrotory Vox ». Œuvre de Valérie Giovanni, « Saisir le Délaissement » allie vidéo, chant et performance dansée, pour explorer le passé industriel de la Corse, période peu connue de l’histoire insulaire. A travers ce projet, l’artiste insulaire souhaite aller à la rencontre de ces lieux délaissés, de leur réalité matérielle et immatérielle, afin de convoquer un «faire mémoire» de cette histoire passée et de la préserver face aux destructions et évolutions économiques contemporaines. «Saisir le Délaissement» est une invitation à penser ces lieux, autrefois habités et empreints de vie, en tant que porteurs d’histoires, de mémoires et d’identités, aujourd’hui devenues silencieuses. Ce projet apparaît alors comme une volonté de tisser des ponts entre différentes temporalités à travers l’établissement de liens avec ces lieux délaissés, permettant ainsi de les sortir de leur unique association au passé.
Fontaine de Carognu : « Ethereal Fleeting » de Lukas Truniger, un artiste des nouveaux médias et du son. Il crée des expériences singulières défiant les modalités de la perception, identifiant les connexions invisibles des systèmes artificiels, naturels et sociaux pour brouiller davantage leur division supposée. « A cloud machine- installation climatique, est une série continue de nuages, générés par une sculpture argentée semblable à une machine, flottent au-dessus de son environnement et se dissolvent lentement dans l’air. Ce phénomène apparemment naturel peut être observé dans des motifs étrangement répétitifs.
Côté concerts, gratuits également, les groupes Eppò (8 septembre), Diana di l’Alba (9 septembre), I Pignotti (10 septembre).
Enfin le Festival proposera aussi des randonnées guidées gratuites. Une version diurne de l’itinéraire de nuit.
Pour le côté pratique, l’Office mettra en place des navettes gratuites, toutes les 20 minutes au départ du village de Carognu pour se rendre à Divina au départ du parcours artistique (1 km).