"Nous sommes tous rassemblés aujourd’hui pour manifester contre une nouvelle fermeture de classe élémentaire à Sartene, car il ne faut pas oublier qu’une classe de maternelle a été fermé l’année dernière, c’est à se demander si ce n’est pas de l’acharnement. En fermant cette classe, nous nous retrouverons avec des classe surchargées et- des doubles niveaux, puis il ne faut pas oublier que l’apprentissage n’est pas le même avec des classes à 20 et des classes à 30 enfants. Puis Sartene est la seule école de la région à être informatisé. Si nous n’obtenons pas satisfactions, d’autres manifestations seront reconduites, car nous ne comptons pas en rester là pour l’avenir de nos enfants » a déclaré un porte-parole des parents d’élèves qui devaient être reçus en soirée par le recteur.
« Nous sommes tous rassemblés aujourd’hui pour manifester contre une nouvelle fermeture de classe élémentaire à Sartène, car il ne faut pas oublier qu’une classe de maternelle a été fermé l’année dernière, c’est à se demander si ce n’est pas de l’acharnement. En fermant cette classe, nous nous retrouverons avec des classe surchargées et- des doubles niveaux, puis il ne faut pas oublier que l’apprentissage n’est pas le même avec des classes à 20 et des classes à 30 enfants. Puis Sartène est la seule école de la région à être informatisé. Si nous n’obtenons pas satisfactions, d’autres manifestations seront reconduites, car nous ne comptons pas en rester là pour l’avenir de nos enfants » a déclaré un porte-parole des parents d’élèves qui seront reçus en soirée par le recteur.
De nombreux élus ont participé à ce rassemblement : Jean Matteaccioli, 1er adjoint mairie de Sartene; Jean-Luc Girolami, adjoint mairie de Sartene, Anne Bianchini-Ricci, adjointe Mairie de Sartene, Nathalie Filippi, conseillère municipale mairie de Sartène, Jean-Pierre Gori, conseiller municipal mairie de Sartene, Dominique Bucchini, conseiller municipal mairie de Sartene
LABERTRANDIE ANNE Anne Labertrandie, conseillère municipale mairie de Sartene et vice-présidente à la CCSV, Vannina Mallaroni, conseillère municipale mairie de Sartene, Nicolas Alaris, conseiller municipal mairie de Sartene, Bernard Corneille, conseiller municipal mairie de Sartene, Jean-Christophe Angelini, président de l’ADEC et membre de l’exécutif à l’assemblée, Pierre Cianfarani, maire maire de Foce-Bilzèse, Joseph Pucci, maire de Viggianello et conseiller territorial, Michel Tramoni, maire de Bilia, François Paolini, maire de Giuncheto, José-Pierre Moziconacci, maire d’Olmeto et conseiller départemental, Mathias Costanzao, 2ème adjoint de Grossa, Chantal Pedinielli, conseillère départementale, Jean Pereney,1er adjoint de Viggianello et vice-président à la CCSV, Sophie Lorenzo, DGS à la CCSV, Antoine Mondoloni, président de la CCI de Corse, Pierre-José Filipputti et Emmanuel Lucchini, représentanst de Corsica Libera, Jean-Pierre Luciani, Fabrice Chaput, représentants STC
« Nous sommes tous rassemblés aujourd’hui pour manifester contre une nouvelle fermeture de classe élémentaire à Sartène, car il ne faut pas oublier qu’une classe de maternelle a été fermé l’année dernière, c’est à se demander si ce n’est pas de l’acharnement. En fermant cette classe, nous nous retrouverons avec des classe surchargées et- des doubles niveaux, puis il ne faut pas oublier que l’apprentissage n’est pas le même avec des classes à 20 et des classes à 30 enfants. Puis Sartène est la seule école de la région à être informatisé. Si nous n’obtenons pas satisfactions, d’autres manifestations seront reconduites, car nous ne comptons pas en rester là pour l’avenir de nos enfants » a déclaré un porte-parole des parents d’élèves qui seront reçus en soirée par le recteur.
De nombreux élus ont participé à ce rassemblement : Jean Matteaccioli, 1er adjoint mairie de Sartene; Jean-Luc Girolami, adjoint mairie de Sartene, Anne Bianchini-Ricci, adjointe Mairie de Sartene, Nathalie Filippi, conseillère municipale mairie de Sartène, Jean-Pierre Gori, conseiller municipal mairie de Sartene, Dominique Bucchini, conseiller municipal mairie de Sartene
LABERTRANDIE ANNE Anne Labertrandie, conseillère municipale mairie de Sartene et vice-présidente à la CCSV, Vannina Mallaroni, conseillère municipale mairie de Sartene, Nicolas Alaris, conseiller municipal mairie de Sartene, Bernard Corneille, conseiller municipal mairie de Sartene, Jean-Christophe Angelini, président de l’ADEC et membre de l’exécutif à l’assemblée, Pierre Cianfarani, maire maire de Foce-Bilzèse, Joseph Pucci, maire de Viggianello et conseiller territorial, Michel Tramoni, maire de Bilia, François Paolini, maire de Giuncheto, José-Pierre Moziconacci, maire d’Olmeto et conseiller départemental, Mathias Costanzao, 2ème adjoint de Grossa, Chantal Pedinielli, conseillère départementale, Jean Pereney,1er adjoint de Viggianello et vice-président à la CCSV, Sophie Lorenzo, DGS à la CCSV, Antoine Mondoloni, président de la CCI de Corse, Pierre-José Filipputti et Emmanuel Lucchini, représentanst de Corsica Libera, Jean-Pierre Luciani, Fabrice Chaput, représentants STC
Fermetures : La position de Femu a Corsica
"Femu a Corsica tient à réaffirmer sa désapprobation quant aux fermetures de classes voire d’écoles, notamment dans le rural, et tient à apporter son soutien aux parents d’élèves et élus des communes des écoles concernées.
Les critères de fermeture de classe, basés sur un esprit purement comptable, sont, pour Femu a Corsica, un non sens. Les aspects pédagogiques et l’intérêt des enfants sont trop souvent oubliés.
Sartè, comme Corti et l’isula, en payent, aujourd’hui, le prix fort. L’académie de Corse ne bénéficie pas de dotations budgétaires ministérielles suffisantes et cumule un déficit d’une quarantaine de postes. Les cinq postes budgétaires affectés en 2016 sont largement insuffisants et il est proposé, aujourd’hui, de supprimer une classe bilingue. Femu a Corsica qui place, au cœur de son projet de société pour la Corse, l’éducation et l’épanouissement de ses enfants, ne peut accepter cela.
Le groupe Femu a Corsica avait déjà déposé une motion, votée à l’unanimité, par laquelle l’Assemblée de Corse s’engage à soutenir la présence et le maintien des classes et écoles dont la suppression porterait atteinte aux équilibres vitaux, notamment en milieu rural.
Nous pensons, en effet, que les écoles du rural sont indispensables à l’émancipation individuelle et collective, mais aussi à la revitalisation de l’intérieur de notre île. Elles n’ont pas à être sacrifiées. D’autant moins pour des manœuvres budgétaires de l’Etat qui cherche à faire des économies sur l’éducation de nos enfants.
Femu a Corsica apporte son soutien total aux parents d’élèves, aux élus locaux ainsi qu’aux syndicalistes du STC Educazione "
Les critères de fermeture de classe, basés sur un esprit purement comptable, sont, pour Femu a Corsica, un non sens. Les aspects pédagogiques et l’intérêt des enfants sont trop souvent oubliés.
Sartè, comme Corti et l’isula, en payent, aujourd’hui, le prix fort. L’académie de Corse ne bénéficie pas de dotations budgétaires ministérielles suffisantes et cumule un déficit d’une quarantaine de postes. Les cinq postes budgétaires affectés en 2016 sont largement insuffisants et il est proposé, aujourd’hui, de supprimer une classe bilingue. Femu a Corsica qui place, au cœur de son projet de société pour la Corse, l’éducation et l’épanouissement de ses enfants, ne peut accepter cela.
Le groupe Femu a Corsica avait déjà déposé une motion, votée à l’unanimité, par laquelle l’Assemblée de Corse s’engage à soutenir la présence et le maintien des classes et écoles dont la suppression porterait atteinte aux équilibres vitaux, notamment en milieu rural.
Nous pensons, en effet, que les écoles du rural sont indispensables à l’émancipation individuelle et collective, mais aussi à la revitalisation de l’intérieur de notre île. Elles n’ont pas à être sacrifiées. D’autant moins pour des manœuvres budgétaires de l’Etat qui cherche à faire des économies sur l’éducation de nos enfants.
Femu a Corsica apporte son soutien total aux parents d’élèves, aux élus locaux ainsi qu’aux syndicalistes du STC Educazione "