"Sauvons l'école de Morosaglia", "Uniti per e nostre scole", "Simu di stu paese, ci vulemù campà". C'est un non catégorique qu'ont opposé lundi matin parents, d'élèves, élus et population au projet de l'inspection d'académie de Haute-Corse qui envisage la fermeture de l'école.
"À l'heure des grandes phrases et des bons mots sur le rural nous sommes confrontés une fois de plus à la réalité. L'inspectrice d'académie s'est trouvée un nouvel ennemi, les écoles.
Mais pas n'importe quelles écoles , l'inspectrice académique , souhaite voir fermer plusieurs écoles rurales qui sont souvent bilingues.
Nous ne pouvons le tolérer !
Une école aussi symbolique et historique que celle de Morosaglia ne peut se résoudre à mourir" pouvait-on lire sur le tract distribué de part d'autre du pont où ils étaient rassemblés.
A l'image de leur porte-parole Leria Battesti, les parents d'élèves, de Morosaglia ne veulent pas entendre parler de fermeture.
Ils l'ont dit et expliqué à tous les automobilistes qui ont franchi en début de matinée le pont de Ponte-Leccia. En les retenant quelques secondes afin d'expliquer la situation qui est promise à l'école. Ou bien alors en disposant de temps en temps une barrière. Pour stopper la circulation.
"Tout est parti de ce courrier de l'inspectrice d'Académie destinée au maire Vincent Cognetti lui annonçant la fermeture de l'école Pasquale Paoli à la rentrée de Septembre" précise Leria Battesti.
"Pourquoi ? Parce que les élèves ne seraient que 7 et qu'il serait bien qu'ils rejoignent des écoles plus grandes. Mais un prévisionnel laisse à penser qu'ils seront 9 puis 11 dans les années à venir..."
La levée de boucliers a été générale.
La mairie, le Conseil exécutif, le conseil départemental, les maires de la région ont apporté leur soutien aux parents d'élèves et le recteur a été saisi.
"Rien n'est acté. Vous n'avez pas à vous inquiéter nous a-ton rétorqué" ajoutait encore Leria Battestti, sauf que pour l'instant nous n'avons aucune assurance sur l'avenir de l'école".
D'où l'action de lundi matin…
Elle ne sera pas la dernière si la situation n'évolue pas dans le bon sens laissait-on entendre sur place. "L'école Pasquale Paoli ne mérite pas le sort qu'on veut lui réserver…"
"À l'heure des grandes phrases et des bons mots sur le rural nous sommes confrontés une fois de plus à la réalité. L'inspectrice d'académie s'est trouvée un nouvel ennemi, les écoles.
Mais pas n'importe quelles écoles , l'inspectrice académique , souhaite voir fermer plusieurs écoles rurales qui sont souvent bilingues.
Nous ne pouvons le tolérer !
Une école aussi symbolique et historique que celle de Morosaglia ne peut se résoudre à mourir" pouvait-on lire sur le tract distribué de part d'autre du pont où ils étaient rassemblés.
A l'image de leur porte-parole Leria Battesti, les parents d'élèves, de Morosaglia ne veulent pas entendre parler de fermeture.
Ils l'ont dit et expliqué à tous les automobilistes qui ont franchi en début de matinée le pont de Ponte-Leccia. En les retenant quelques secondes afin d'expliquer la situation qui est promise à l'école. Ou bien alors en disposant de temps en temps une barrière. Pour stopper la circulation.
"Tout est parti de ce courrier de l'inspectrice d'Académie destinée au maire Vincent Cognetti lui annonçant la fermeture de l'école Pasquale Paoli à la rentrée de Septembre" précise Leria Battesti.
"Pourquoi ? Parce que les élèves ne seraient que 7 et qu'il serait bien qu'ils rejoignent des écoles plus grandes. Mais un prévisionnel laisse à penser qu'ils seront 9 puis 11 dans les années à venir..."
La levée de boucliers a été générale.
La mairie, le Conseil exécutif, le conseil départemental, les maires de la région ont apporté leur soutien aux parents d'élèves et le recteur a été saisi.
"Rien n'est acté. Vous n'avez pas à vous inquiéter nous a-ton rétorqué" ajoutait encore Leria Battestti, sauf que pour l'instant nous n'avons aucune assurance sur l'avenir de l'école".
D'où l'action de lundi matin…
Elle ne sera pas la dernière si la situation n'évolue pas dans le bon sens laissait-on entendre sur place. "L'école Pasquale Paoli ne mérite pas le sort qu'on veut lui réserver…"