« Ce mois de juin est aussi très chaud, 2 à 4 degrés au dessus des normales et notamment à cause des températures maximales élevées suivant les microrégions, entre 10 et 15 jours avec des températures supérieures ou égales à 30°.
Il vient juste derrière 2003 et 2017 sur la plupart des stations de mesure et même au deuxième rang sur Figari " ajoute Patrick Rebillout
Le cumul de précipitations depuis le 1er janvier 2019 est déficitaire mais pas excessivement. On atteint 75% de la normale moyenné sur la Corse (il est tombé 312 mm). Néanmoins le littoral d'Alistro à Porto, en passant par le Sud de l’île, a reçu moins d'eau.
Conséquence des températures élevées beaucoup d'évaporation du sol et d'évapotranspiration grâce aux précipitations du mois de mai.
«La sécheresse agricole observée au 1er avril s'atténuait mais avec les fortes chaleurs, l'indice d'humidité du sol est à nouveau très bas : là encore c'est la frange littorale d'Alistro à Porto qui présente une sécheresse agricole sévère côté occidentale, voire exceptionnelle sur l'extrême sud et la région de Porto Vecchio ».
- Et qu’en est-il de la suite ?
« Les prévisions mensuelles montrent des températures élevées jusqu'au 14 juillet, ensuite elles restent un peu plus chaudes que la normale d’environ 1 degrés.
Bien sûr ces prévisions sont des moyennes, elles ne prévoient pas une éventuelle vague de chaleur. Quant aux prévisions saisonnières elles ne privilégient aucun scénario pour juillet, août et septembre. Ni pour les pluies ni pour les températures.
Nous irions donc vers un été conforme au climat habituel.
Cependant ces prévisions saisonnières ne peuvent prévoir les orages estivaux de montagne. On peut peut-être espérer un peu d'eau par ces phénomènes.
Pour revenir au mois de juin et ce début juillet, hormis quelques orages justement sur le relief, pas d'eau sur la plupart des stations de mesure. On est entre 40 à 50 jours sans pluie significative » explique encore P. Rébillout
Il vient juste derrière 2003 et 2017 sur la plupart des stations de mesure et même au deuxième rang sur Figari " ajoute Patrick Rebillout
Le cumul de précipitations depuis le 1er janvier 2019 est déficitaire mais pas excessivement. On atteint 75% de la normale moyenné sur la Corse (il est tombé 312 mm). Néanmoins le littoral d'Alistro à Porto, en passant par le Sud de l’île, a reçu moins d'eau.
Conséquence des températures élevées beaucoup d'évaporation du sol et d'évapotranspiration grâce aux précipitations du mois de mai.
«La sécheresse agricole observée au 1er avril s'atténuait mais avec les fortes chaleurs, l'indice d'humidité du sol est à nouveau très bas : là encore c'est la frange littorale d'Alistro à Porto qui présente une sécheresse agricole sévère côté occidentale, voire exceptionnelle sur l'extrême sud et la région de Porto Vecchio ».
- Et qu’en est-il de la suite ?
« Les prévisions mensuelles montrent des températures élevées jusqu'au 14 juillet, ensuite elles restent un peu plus chaudes que la normale d’environ 1 degrés.
Bien sûr ces prévisions sont des moyennes, elles ne prévoient pas une éventuelle vague de chaleur. Quant aux prévisions saisonnières elles ne privilégient aucun scénario pour juillet, août et septembre. Ni pour les pluies ni pour les températures.
Nous irions donc vers un été conforme au climat habituel.
Cependant ces prévisions saisonnières ne peuvent prévoir les orages estivaux de montagne. On peut peut-être espérer un peu d'eau par ces phénomènes.
Pour revenir au mois de juin et ce début juillet, hormis quelques orages justement sur le relief, pas d'eau sur la plupart des stations de mesure. On est entre 40 à 50 jours sans pluie significative » explique encore P. Rébillout