L'alerte avait été donné la veille par un habitué de la plage de Miomu. Après avoir photographié ce qu'il pensait être un engin explosif datant de la seconde Guerre Mondiale, il avait fait part de sa découverte à la mairie de Santa Maria-di-Lota.
Aussitôt Jean-Charles Leonardi, adjoint au maire, répercutait l'alerte auprès de la gendarmerie nationale.
Dans la foulée, la plage était évacuée puis fermée.
On pensait alors que l'avis des démineurs de la gendarmerie, qui sont sur place, suffiraient éventuellement à estimer le danger. C'est la préfecture maritime de Toulon qui a, en fait, pris le relais.
"Nous sommes habitués à ce genre de découvertes" expliquait sur place Jean-Charles Leonardi. "Tous les ans la rivière charrie des explosifs que l'armée italienne avait abandonné sur place en se repliant. Ça pouvait être encore le cas, dès lors le principe de précaution a prévalu".
Mercredi matin le suspense n'a pas duré longtemps.
Deux plongeurs-démineurs de la Marine Nationale, dépêchés en hélicoptère depuis Hyères par la préfecture de Méditerranée, ont plongé à l'endroit où se trouvait la pièce suspecte.
En moins de 5 minutes ils étaient fixés : la pièce ramenée dans un sac était en fait une vieille pièce automobile…
La plage de Miomu pouvait donc reprendre son bel aspect et son animation estivale.
Quant aux plongeurs-démineurs de la Marine ils ont mis le Cap sur la région de Porto-Vecchio où avait été signalé un autre engin
Aussitôt Jean-Charles Leonardi, adjoint au maire, répercutait l'alerte auprès de la gendarmerie nationale.
Dans la foulée, la plage était évacuée puis fermée.
On pensait alors que l'avis des démineurs de la gendarmerie, qui sont sur place, suffiraient éventuellement à estimer le danger. C'est la préfecture maritime de Toulon qui a, en fait, pris le relais.
"Nous sommes habitués à ce genre de découvertes" expliquait sur place Jean-Charles Leonardi. "Tous les ans la rivière charrie des explosifs que l'armée italienne avait abandonné sur place en se repliant. Ça pouvait être encore le cas, dès lors le principe de précaution a prévalu".
Mercredi matin le suspense n'a pas duré longtemps.
Deux plongeurs-démineurs de la Marine Nationale, dépêchés en hélicoptère depuis Hyères par la préfecture de Méditerranée, ont plongé à l'endroit où se trouvait la pièce suspecte.
En moins de 5 minutes ils étaient fixés : la pièce ramenée dans un sac était en fait une vieille pièce automobile…
La plage de Miomu pouvait donc reprendre son bel aspect et son animation estivale.
Quant aux plongeurs-démineurs de la Marine ils ont mis le Cap sur la région de Porto-Vecchio où avait été signalé un autre engin
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