Ce blocage, qui aurait été déclenché "sans préavis" a précisé mercredi matin la direction de la Communauté d'Agglomération du Pays Ajaccien dans un communiqué, a été initié par le syndicat STC, lequel demande une embauche locale. Une rencontre entre les représentants des grévistes, la direction de la SPL Muvistra qui assure la gestion du réseau de transports en commun et des responsables de la Capa a été organisée dès le début du conflit matin.
Le secrétaire général du STC, Jean-Toussaint Poli, expliquait dans la matinée : « Nous n’arrivons pas à entrer en discussion avec la directrice alors que l’on apprend par la bande, il y a quelques jours, qu’il y aura un recrutement qui serait sur le point d’aboutir sans l’affichage de poste pour une personne venant du continent. Pourquoi faire venir quelqu’un du continent ? A-t-il les compétences ? Et sur quel poste ? Il nous est impossible de l’admettre ! L’autre point, c’est la discrimination syndicale, nous avons l’impression que les élus STC sont des gens juste pour occuper un siège, pour faire le quorum. On ne les écoute pas ! Affichage du poste à pourvoir, prise en considération du syndicat, afficher le profil des éventuels candidats à ce poste, voilà ce que l’on attend de la part de la direction. Si la personne qui a été recrutée est là, elle doit repartir… »
Reprise des rotations à 15 heures
Le mouvement de grève entamé le matin s’est achevé en début d’après midi au sortir d’une réunion entre syndicalistes STC et direction. Le blocage a donc été levé et les bus ont pu entamer leurs rotations dès 15 heures. Le conflit n’est pas pour autant achevé dans la mesure où les deux parties vont se revoir à partir de ce jeudi sur un certain nombre de revendications.
Voici ce que déclarait la directrice de Muvistrada, Mme Gallet, en début d’après-midi : « Nous avons repris un à un les différents points soulevés par le syndicat STC, qui sont en fait des points du quotidien, à savoir les primes d’ancienneté, l’aménagement des institutions mais de tout cela nous aurons l’occasion d’en reparler demain (lire aujourd’hui) avec les salariés et le service a repris normalement ce jour à partir de 15 heures. Je pense qu’un dialogue s’est instauré dans l’entreprise et la porte de la direction est toujours ouverte. Les journées sont courtes, le rythme des conducteurs n’est pas toujours facile. »
Le secrétaire général du STC, Jean-Toussaint Poli, expliquait dans la matinée : « Nous n’arrivons pas à entrer en discussion avec la directrice alors que l’on apprend par la bande, il y a quelques jours, qu’il y aura un recrutement qui serait sur le point d’aboutir sans l’affichage de poste pour une personne venant du continent. Pourquoi faire venir quelqu’un du continent ? A-t-il les compétences ? Et sur quel poste ? Il nous est impossible de l’admettre ! L’autre point, c’est la discrimination syndicale, nous avons l’impression que les élus STC sont des gens juste pour occuper un siège, pour faire le quorum. On ne les écoute pas ! Affichage du poste à pourvoir, prise en considération du syndicat, afficher le profil des éventuels candidats à ce poste, voilà ce que l’on attend de la part de la direction. Si la personne qui a été recrutée est là, elle doit repartir… »
Reprise des rotations à 15 heures
Le mouvement de grève entamé le matin s’est achevé en début d’après midi au sortir d’une réunion entre syndicalistes STC et direction. Le blocage a donc été levé et les bus ont pu entamer leurs rotations dès 15 heures. Le conflit n’est pas pour autant achevé dans la mesure où les deux parties vont se revoir à partir de ce jeudi sur un certain nombre de revendications.
Voici ce que déclarait la directrice de Muvistrada, Mme Gallet, en début d’après-midi : « Nous avons repris un à un les différents points soulevés par le syndicat STC, qui sont en fait des points du quotidien, à savoir les primes d’ancienneté, l’aménagement des institutions mais de tout cela nous aurons l’occasion d’en reparler demain (lire aujourd’hui) avec les salariés et le service a repris normalement ce jour à partir de 15 heures. Je pense qu’un dialogue s’est instauré dans l’entreprise et la porte de la direction est toujours ouverte. Les journées sont courtes, le rythme des conducteurs n’est pas toujours facile. »