« Le Président arrive », c’est ainsi qu’on a annoncé l’entrée de l’ancien Président de la république Nicolas Sarkozy dans la grande salle du café Napoléon à Ajaccio après son entrevue avec le président du Conseil départemental de la Corse-du-Sud. Et c’était bien le candidat aux primaires républicaines qui est apparu devant la foule qui scandait « Nicolas ! ». De nombreux partisans étaient en effet présents, certains même ayant fait le déplacement du Centre-Corse pour venir le soutenir. Etaient présents aussi des élus tels que Marcel Francisci, Pierre-Jean Luciani, Nathalie Ruggeri, Joselyne Mattei-Fazi et Charles Voglimacci.
Nicolas sarkozy a commencé son discours en revenant sur les évènements qui ont marqué l’histoire de la Corse et plus récemment le dépôt des armes du FLNC.
« Il y a eu un tournant avec la fin de la violence. Nous devons répondre à cet événement fondateur par la prise de décision rapide et et forte qui montrera à toute la Corse que lorsqu’on dépose les armes, quand on tourne le dos à la violence, on en est récompensé, on peut faire confiance et on peut construire pour l’avenir. L’immobilisme serait irresponsable. Je propose un statut particulier fiscal et social pour la Corse dans la constitution afin de permettre l’adoption pour l’île de mesures pérennes qui tiendront compte des spécificités insulaires. Quand on a travaillé dur toute sa vie pour bâtir un patrimoine qu’on souhaite transmettre à ses enfants, on doit pouvoir le faire en franchise d’impôt sur les successions. Concernant la langue corse, bien que la langue de la République soit le français, les Corses sont très attachés à leur langue et elle doit demeurer une langue sociale et non pas uniquement scolaire. »
Après de nombreux applaudissements et un bain de foule au milieu de ses nombreux soutiens, Nicolas Sarkozy a continué son séjour ajaccien en allant à la rencontre de chefs d’entreprises.
Nicolas sarkozy a commencé son discours en revenant sur les évènements qui ont marqué l’histoire de la Corse et plus récemment le dépôt des armes du FLNC.
« Il y a eu un tournant avec la fin de la violence. Nous devons répondre à cet événement fondateur par la prise de décision rapide et et forte qui montrera à toute la Corse que lorsqu’on dépose les armes, quand on tourne le dos à la violence, on en est récompensé, on peut faire confiance et on peut construire pour l’avenir. L’immobilisme serait irresponsable. Je propose un statut particulier fiscal et social pour la Corse dans la constitution afin de permettre l’adoption pour l’île de mesures pérennes qui tiendront compte des spécificités insulaires. Quand on a travaillé dur toute sa vie pour bâtir un patrimoine qu’on souhaite transmettre à ses enfants, on doit pouvoir le faire en franchise d’impôt sur les successions. Concernant la langue corse, bien que la langue de la République soit le français, les Corses sont très attachés à leur langue et elle doit demeurer une langue sociale et non pas uniquement scolaire. »
Après de nombreux applaudissements et un bain de foule au milieu de ses nombreux soutiens, Nicolas Sarkozy a continué son séjour ajaccien en allant à la rencontre de chefs d’entreprises.