Le communiqué
La Gauche Républicaine Corse dénonce l’attitude irresponsable de l’exécutif territorial d’obstruction à la réouverture des collèges. En s’attribuant des compétences qui ne sont pas les siennes par le refus de laisser son personnel à disposition de l’Education Nationale, il prive les parents du droit à la scolarisation de leurs enfants et crée une situation de rupture d’égalité d’accès à l’enseignement, lequel forme les citoyens de demain et favorise l’ascenseur social.
Pourtant le travail de préparation pour la mise en place du protocole sanitaire mené par les chefs d’établissements avec les équipes d’entretien et éducatives permettait de rétablir, dans le calendrier prévu, une continuité pédagogique en mixant enseignement à distance et présentiel, ce dernier étant indispensable pour une partie des élèves, et en adaptant les réponses aux spécificités de ces établissements. Mais les injonctions de la majorité territoriale, contradictoires dans les expressions successives de Gilles Simeoni, Josepha Giacometti, et Jean Guy Talamoni ont dans les faits entretenu la confusion et entravé délibérément la reprise.
Une nouvelle fois, les dirigeants nationalistes, pourtant confrontés à une situation sanitaire économique et sociale inédite qui a déjà fait appel massivement à la solidarité nationale, non seulement passent celle-ci sous silence mais s’enferment dans la sempiternelle posture d’opposition à l’Etat.
Alors qu’ils s’avèrent incapables de traiter le dossier des déchets dont les Corses vont devoir payer la facture, ils s’érigent en protecteurs de leur santé, et prennent en otages les enfants et les familles qui en ont le plus besoin.
Pourtant le travail de préparation pour la mise en place du protocole sanitaire mené par les chefs d’établissements avec les équipes d’entretien et éducatives permettait de rétablir, dans le calendrier prévu, une continuité pédagogique en mixant enseignement à distance et présentiel, ce dernier étant indispensable pour une partie des élèves, et en adaptant les réponses aux spécificités de ces établissements. Mais les injonctions de la majorité territoriale, contradictoires dans les expressions successives de Gilles Simeoni, Josepha Giacometti, et Jean Guy Talamoni ont dans les faits entretenu la confusion et entravé délibérément la reprise.
Une nouvelle fois, les dirigeants nationalistes, pourtant confrontés à une situation sanitaire économique et sociale inédite qui a déjà fait appel massivement à la solidarité nationale, non seulement passent celle-ci sous silence mais s’enferment dans la sempiternelle posture d’opposition à l’Etat.
Alors qu’ils s’avèrent incapables de traiter le dossier des déchets dont les Corses vont devoir payer la facture, ils s’érigent en protecteurs de leur santé, et prennent en otages les enfants et les familles qui en ont le plus besoin.