Il est particulièrement remonté Bernard-Antoine Acquaviva, exploitant agricole à Marignana. Il est vrai que depuis le passage dévastateur de Ciaran sur la côte ouest de l'île, son exploitation et surtout son accès ont été particulièrement affectés par les accès de rage de la météo de l'époque.
Mais la visite sur place du président de l'Exécutif de Corse et de nombreux édiles régionaux avaient contribué un tant soit peu à rasséréner tout le monde. Mais les semaines et les mois ont passé sans que rien ne soit venu éclaircir l'horizon de ceux qui comme Bernard-Antoine Acquaviva ne peuvent plus accéder à leurs exploitations. "Core in Fronte a posé plusieurs questions orales lors des sessions récentes de l'assemblée de Corse, mais à ce jour rien n'est venu améliorer la situation. Oui on dit prendre en compte le problème, mais rien ne bouge" affirme amer, l'agriculteur.
"Dans quelques semaines, les châtaignes vont commencer à tomber, et on sera dessous pour les ramasser : mais après comment faire, si on ne peut accéder à notre exploitation ? " Interroge Bernard-Antoine Acquaviva qui entend opposer le calendrier de la réalité agricole au calendrier administratif et bien disposé à rester sur place tant qu'un signe concret de la prise en compte de son dossier ne se manifestera pas.
Mais la visite sur place du président de l'Exécutif de Corse et de nombreux édiles régionaux avaient contribué un tant soit peu à rasséréner tout le monde. Mais les semaines et les mois ont passé sans que rien ne soit venu éclaircir l'horizon de ceux qui comme Bernard-Antoine Acquaviva ne peuvent plus accéder à leurs exploitations. "Core in Fronte a posé plusieurs questions orales lors des sessions récentes de l'assemblée de Corse, mais à ce jour rien n'est venu améliorer la situation. Oui on dit prendre en compte le problème, mais rien ne bouge" affirme amer, l'agriculteur.
"Dans quelques semaines, les châtaignes vont commencer à tomber, et on sera dessous pour les ramasser : mais après comment faire, si on ne peut accéder à notre exploitation ? " Interroge Bernard-Antoine Acquaviva qui entend opposer le calendrier de la réalité agricole au calendrier administratif et bien disposé à rester sur place tant qu'un signe concret de la prise en compte de son dossier ne se manifestera pas.
Occupazione paisana di l'ODARC, à a quale participeghja #CoreInFronte.
Dumandemu, à l'Esecutivu di Corsica, u rispettu di l'ingagiamenti pè rifà a pista chì permette à Bernard-Antoine Acquaviva d'andà nant’à a so splutazione agricula, distrutta da a timpesta Ciaran in u 2023. pic.twitter.com/tNzzrP2trb
— Core in Fronte (@coreinfronte) August 1, 2024