« Cette année mes œuvres voyagent dans le monde du sacré » souligne Sylvie Antoniotti. «Après la galerie des frères Dominicains en mai dernier à Nice, le maire d’Oletta m’a ouvert son musée, car pour lui mes œuvres se rapprochent du Sacré »
Le musée d’Art sacré du village* se trouve en fait dans l’église de la confrérie de Santa Croce. Accessible gratuitement du 1er juin au 31 août, le musée permet de contempler objets religieux tels chapes, calices, lanterne de procession, vêtements liturgiques…, personnages religieux qui ont marqué l’histoire comme Mgr Natali mais aussi plus d’un millier de pièces remarquables du Cap Corse, du Nebbiu et de la Custera en virtuel, en trois dimensions via de superbes images stéréoscopiques. «C’est un cadre spirituel, apaisant, un endroit de paix qui me convient parfaitement » explique l’artiste. Artiste bastiaise autodidacte c’est presque par hasard, en stage chez un ébéniste, que les talents de Sylvie se sont révèlés. « Il y avait un petit tas de terre et l’ébéniste m’a dit d’en faire ce que je voulais. Je l’ai pétri, modelé à ma façon et sans même l’avoir imaginé, c’est le visage de mon fils que j’ai réalisé. Un signe pour moi, le début de mon activité artistique. Aujourd’hui mon déroulé est le même. Je pars sans idée, je laisse libre cours à mon imagination au fil de la réalisation d’une pièce. Je laisse aussi au public le soin d’interpréter mes œuvres et c’est d’ailleurs très intéressant de partager avec eux leurs visions des choses». L
es Bastiais découvrent vraiment Sylvie Antoniotti au début de l’année 2022 lors d’une exposition à la Galerie Noir et Blanc, place du marché. « Mes sculptures sont en argile, résine, poudre de marbre et une matière … secrète (rires), de couleurs neutres. Mon travail consiste à me concentrer uniquement sur mes émotions pour faire ressortir toute mon âme sur mes créations. Je me laisse vraiment porter par mes émotions et cette année elles se sont ancrées dans le Sacré. Peut-être est-ce l’époque qui le veut, le spirituel est apaisant et j’avais besoin de me rapprocher de l’essentiel, de la paix ».
Le musée d’Art sacré du village* se trouve en fait dans l’église de la confrérie de Santa Croce. Accessible gratuitement du 1er juin au 31 août, le musée permet de contempler objets religieux tels chapes, calices, lanterne de procession, vêtements liturgiques…, personnages religieux qui ont marqué l’histoire comme Mgr Natali mais aussi plus d’un millier de pièces remarquables du Cap Corse, du Nebbiu et de la Custera en virtuel, en trois dimensions via de superbes images stéréoscopiques. «C’est un cadre spirituel, apaisant, un endroit de paix qui me convient parfaitement » explique l’artiste. Artiste bastiaise autodidacte c’est presque par hasard, en stage chez un ébéniste, que les talents de Sylvie se sont révèlés. « Il y avait un petit tas de terre et l’ébéniste m’a dit d’en faire ce que je voulais. Je l’ai pétri, modelé à ma façon et sans même l’avoir imaginé, c’est le visage de mon fils que j’ai réalisé. Un signe pour moi, le début de mon activité artistique. Aujourd’hui mon déroulé est le même. Je pars sans idée, je laisse libre cours à mon imagination au fil de la réalisation d’une pièce. Je laisse aussi au public le soin d’interpréter mes œuvres et c’est d’ailleurs très intéressant de partager avec eux leurs visions des choses». L
es Bastiais découvrent vraiment Sylvie Antoniotti au début de l’année 2022 lors d’une exposition à la Galerie Noir et Blanc, place du marché. « Mes sculptures sont en argile, résine, poudre de marbre et une matière … secrète (rires), de couleurs neutres. Mon travail consiste à me concentrer uniquement sur mes émotions pour faire ressortir toute mon âme sur mes créations. Je me laisse vraiment porter par mes émotions et cette année elles se sont ancrées dans le Sacré. Peut-être est-ce l’époque qui le veut, le spirituel est apaisant et j’avais besoin de me rapprocher de l’essentiel, de la paix ».
Pour cette exposition intitulée « Da U Celu », une quinzaine d’œuvres inédites, façonnées ces derniers mois, des pièces uniques. « J’ai choisi ce nom car cela symbolise le regard bienveillant que portent sur nous les belles âmes depuis le ciel, des âmes qui nous aident à vivre mieux ».
Prés de l’autel, au bout de la nef de l’église, deux tableaux aussi. « Ils représentent mon ancrage à la nature. Ces toiles à l’huile, en noir et blanc, se veulent un focus sur notre nature, une sensibilisation à sa protection. Comme pour mes sculptures, les visiteurs peuvent y voir autre chose. Cela fait travailler l’imaginaire d’autant plus qu’une douce musique accompagne la visite de l’expo». Deux belles raisons de se rendre dans ce beau village du Nebbiu, en cet endroit sacré que saura aussi vous faire découvrir la jeune Emma à l’entrée de l’église.
*Ouvert du mardi au dimanche de 10 à 12 hrures et de 14h30 à 18h30. Entrée libre.
Prés de l’autel, au bout de la nef de l’église, deux tableaux aussi. « Ils représentent mon ancrage à la nature. Ces toiles à l’huile, en noir et blanc, se veulent un focus sur notre nature, une sensibilisation à sa protection. Comme pour mes sculptures, les visiteurs peuvent y voir autre chose. Cela fait travailler l’imaginaire d’autant plus qu’une douce musique accompagne la visite de l’expo». Deux belles raisons de se rendre dans ce beau village du Nebbiu, en cet endroit sacré que saura aussi vous faire découvrir la jeune Emma à l’entrée de l’église.
*Ouvert du mardi au dimanche de 10 à 12 hrures et de 14h30 à 18h30. Entrée libre.