Selon les derniers chiffres annoncés ce lundi aux micros de franceinfo par le directeur de l’Administration pénitentiaire Stéphane Bredin les prisons françaises comptent "13 500 détenus en moins" depuis le début du confinement. Parmi ceux qui ont pu bénéficier d'une réduction exceptionnelle de peine ou d'une sorties anticipée on y retrouve "une petite trentaine" de détenus radicalisés, indique Stéphane Bredin qui précise "ils seraient de toute façon sortis dans les deux mois qui viennent".
Aucun prisonnier politique corse n'a bénéficie de cette mesure, souligne Core in Fronte dans un communiqué qui accuse l'Etat de vouloir résoudre le "problème corse" avec la répression.
Le parti nationaliste rappelle aussi que les deux détenus "Pierre Alessandri et Alain Ferrandi sont conditionnables depuis deux ans et ils sont pourtant toujours incarcérés, éloignés et soumis au régime de DPS (détenu Particulièrement Surveillé) et que trois autre jeunes hommes présumés innocents, Adrien Matarise, Julien Muselli et Ghjilormu Garelli, en préventive depuis le mois de décembre, ont vu avec l'état d'urgence sanitaire, leurs droits et ceux de la défense dégradés.".
Aucun prisonnier politique corse n'a bénéficie de cette mesure, souligne Core in Fronte dans un communiqué qui accuse l'Etat de vouloir résoudre le "problème corse" avec la répression.
Le parti nationaliste rappelle aussi que les deux détenus "Pierre Alessandri et Alain Ferrandi sont conditionnables depuis deux ans et ils sont pourtant toujours incarcérés, éloignés et soumis au régime de DPS (détenu Particulièrement Surveillé) et que trois autre jeunes hommes présumés innocents, Adrien Matarise, Julien Muselli et Ghjilormu Garelli, en préventive depuis le mois de décembre, ont vu avec l'état d'urgence sanitaire, leurs droits et ceux de la défense dégradés.".