Dans moins de 15 jours maintenant, la Corse, de la pointe du Cap jusqu'aux falaises de Bonifacio, sera rassemblée autour de la crèche pour saluer la naissance du Divin Enfant.
Lors de cette belle et douce nuit, les vœux de "Bon Natale" vont retentir de foyer en foyer, de communes en communes et de microrégions en microrégions.
Il ne s'agira pas de sentiments feints. Ni de circonstances.
Les liens qui nous unissent les uns et les autres et les uns aux autres sont trop forts pour douter une seule seconde de leur sincérité.
Une sincérité que l'on retrouve à la faveur de ces bonnes actions que l'on multiplie désormais hors du cadre familial et par-delà le cercle plus ou moins large de l'amitié.
Noël oblige, l'heure est à la solidarité avec les SDF. Les prisonniers. Les femmes seules. Les orphelins. Et tous ceux qui à l'heure de l'avènement du Divin Enfant n'ont plus que leurs yeux pour pleurer sur leur infortune.
Et ils sont bien plus nombreux que ce l'on pense.
C'est à eux tous que l'on va nous demander de penser à l'heure de la douce et sainte nuit à venir.
Pourquoi pas ?
Ce sera une belle occasion pour nous extraire, un trop court instant sans doute, de nos travers, péchés et turpitudes du quotidien que nous retrouverons, n'en doutez pas et de plus belle, avant les vœux de "Pace è salute" que l'on échangera dans la foulée, mais sera-ce avec la même sincérité ?
Lors de cette belle et douce nuit, les vœux de "Bon Natale" vont retentir de foyer en foyer, de communes en communes et de microrégions en microrégions.
Il ne s'agira pas de sentiments feints. Ni de circonstances.
Les liens qui nous unissent les uns et les autres et les uns aux autres sont trop forts pour douter une seule seconde de leur sincérité.
Une sincérité que l'on retrouve à la faveur de ces bonnes actions que l'on multiplie désormais hors du cadre familial et par-delà le cercle plus ou moins large de l'amitié.
Noël oblige, l'heure est à la solidarité avec les SDF. Les prisonniers. Les femmes seules. Les orphelins. Et tous ceux qui à l'heure de l'avènement du Divin Enfant n'ont plus que leurs yeux pour pleurer sur leur infortune.
Et ils sont bien plus nombreux que ce l'on pense.
C'est à eux tous que l'on va nous demander de penser à l'heure de la douce et sainte nuit à venir.
Pourquoi pas ?
Ce sera une belle occasion pour nous extraire, un trop court instant sans doute, de nos travers, péchés et turpitudes du quotidien que nous retrouverons, n'en doutez pas et de plus belle, avant les vœux de "Pace è salute" que l'on échangera dans la foulée, mais sera-ce avec la même sincérité ?