Mais qu'est-ce qui nous arrive ?
Une bagarre en fin de soirée, sans doute trop arrosée, au marché de Noël de Bastia qui à cette époque de l'année apporte un surcroît d'animation dans une ville qui en avait bien besoin.
Une alerte à la bombe à un autre marché de Noël avec évacuation des visiteurs, intervention des forces de l'ordre, des démineurs, etc., du côté Sarrola-Carcopino !
En Corse, aussi, le monde serait-il devenu fou ?
Même si, avouez-le, nous avons du mal à l'admettre, c'est pourtant la triste réalité.
En tout cas, nous sommes en droit, aujourd'hui, de nous poser la question
D'autant qu'il ne s'agit-là que des manifestations les plus spectaculaires de ce basculement de nos comportements vers ce qui ressemble plus à de l'anarchie qu'au sens de la fête que l'on a voulu à donner à ces rassemblements.
Pourtant il est d'autres exemples plus insidieux qui témoignent de cette évolution vers le n'importe quoi s'élevant parfois à la hauteur d'une véritable institution, désormais, chez nous.
Des exemples ?
Regardons autour de nous.
Regardons la façon dont nous nous comportons au volant.
Regardons la façon dont nous allons en voiture, bien sûr, faire nos courses sur le boulevard Paoli à Bastia ?
Comment les véhicules de livraison réapprovisionnent les magasins du centre-ville parce que les aires de stationnement qui leur sont réservées sont occupées, en toute impunité.
Comment ces automobilistes, qui font demi-tour sur la principale artère de la cité bastiaise ou bien se positionnent, à leur tour, en double file dans le sens opposé à la circulation, contraignent les autres à un gymkhana permanent ?
Mais attention, évitez remarques et observations, regards désapprobateurs et sourires entendus : vous aurez droit à un "quoi ? t'es pas content toi ?" qui, asséné sur un ton n'admettant pas la réplique, nous ramène à notre interrogation initiale.
Oui notre petit monde insulaire est en train, lui aussi, de devenir fou !
Une bagarre en fin de soirée, sans doute trop arrosée, au marché de Noël de Bastia qui à cette époque de l'année apporte un surcroît d'animation dans une ville qui en avait bien besoin.
Une alerte à la bombe à un autre marché de Noël avec évacuation des visiteurs, intervention des forces de l'ordre, des démineurs, etc., du côté Sarrola-Carcopino !
En Corse, aussi, le monde serait-il devenu fou ?
Même si, avouez-le, nous avons du mal à l'admettre, c'est pourtant la triste réalité.
En tout cas, nous sommes en droit, aujourd'hui, de nous poser la question
D'autant qu'il ne s'agit-là que des manifestations les plus spectaculaires de ce basculement de nos comportements vers ce qui ressemble plus à de l'anarchie qu'au sens de la fête que l'on a voulu à donner à ces rassemblements.
Pourtant il est d'autres exemples plus insidieux qui témoignent de cette évolution vers le n'importe quoi s'élevant parfois à la hauteur d'une véritable institution, désormais, chez nous.
Des exemples ?
Regardons autour de nous.
Regardons la façon dont nous nous comportons au volant.
Regardons la façon dont nous allons en voiture, bien sûr, faire nos courses sur le boulevard Paoli à Bastia ?
Comment les véhicules de livraison réapprovisionnent les magasins du centre-ville parce que les aires de stationnement qui leur sont réservées sont occupées, en toute impunité.
Comment ces automobilistes, qui font demi-tour sur la principale artère de la cité bastiaise ou bien se positionnent, à leur tour, en double file dans le sens opposé à la circulation, contraignent les autres à un gymkhana permanent ?
Mais attention, évitez remarques et observations, regards désapprobateurs et sourires entendus : vous aurez droit à un "quoi ? t'es pas content toi ?" qui, asséné sur un ton n'admettant pas la réplique, nous ramène à notre interrogation initiale.
Oui notre petit monde insulaire est en train, lui aussi, de devenir fou !