Capture d'écran du compte de l'usurpateur
« Une personne sur Ajaccio ou quelque part ailleurs a créé un compte sur le site « EyeEm », son identifiant est « Santonixxxx » il prend des photos de nous les filles sur nos comptes Instagram, Facebook ou autre, en se faisant passer pour un photographe et en les vendant apparemment, dans son « market », il semblerait que des photos aient déjà été vendues. »
C’est le cri d’alarme lancé sur une page Facebook qui a mis au jour une affaire de trafic de photographies, et déclenché l’ire de dizaine de jeunes filles et jeunes femmes qui ont retrouvé leurs photos volées sur leurs réseaux sociaux et mises en vente sur un site faisant office de bibliothèque d’images.
Il s’agit de « EyeEm » une application mobile de partage de photos disponible sur iOS et Android et basée à Berlin.
L’entreprise permet à ses utilisateurs de prendre des clichés et de les éditer avec filtres et cadres, avant de les partager sur l'application et le site d'EyeEm ou sur d'autres réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Tumblr, Flickr, Foursquare).
L'entreprise a également établi un partenariat avec Getty Images pour enrichir la base de photos sur le mode du crowdsourcing et financer les créateurs sur la plateforme (EyeEm prélevant 50 % des revenus versés).
En 2014, l'application compte plus de 10 millions d'utilisateurs répartis dans 190 pays qui ont produit plus de 40 millions de clichés. (Source Wikipedia).
Privé ou pas, les comptes de ces personnes ont été démunis de leur plus belles photographies, parfois moins anodines que d’autres. Beaucoup de ces jeunes filles, ou jeunes femmes, résident dans la région d’Ajaccio. Des photographes professionnels y ont même retrouvé les photos de leurs clientes, leur copyright étaient encore apparent sur certaines d’entre elles.
Les victimes, particulièrement nombreuses, ont décidé pour la majorité d'entre elles de déposer plainte auprès du commissariat d’Ajaccio pour atteinte à la vie privée. Les plaintes peuvent aussi se faire en ligne et la convocation suivra.
Le compte pour l’heure semble avoir été fermé ou supprimé.
C’est le cri d’alarme lancé sur une page Facebook qui a mis au jour une affaire de trafic de photographies, et déclenché l’ire de dizaine de jeunes filles et jeunes femmes qui ont retrouvé leurs photos volées sur leurs réseaux sociaux et mises en vente sur un site faisant office de bibliothèque d’images.
Il s’agit de « EyeEm » une application mobile de partage de photos disponible sur iOS et Android et basée à Berlin.
L’entreprise permet à ses utilisateurs de prendre des clichés et de les éditer avec filtres et cadres, avant de les partager sur l'application et le site d'EyeEm ou sur d'autres réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Tumblr, Flickr, Foursquare).
L'entreprise a également établi un partenariat avec Getty Images pour enrichir la base de photos sur le mode du crowdsourcing et financer les créateurs sur la plateforme (EyeEm prélevant 50 % des revenus versés).
En 2014, l'application compte plus de 10 millions d'utilisateurs répartis dans 190 pays qui ont produit plus de 40 millions de clichés. (Source Wikipedia).
Privé ou pas, les comptes de ces personnes ont été démunis de leur plus belles photographies, parfois moins anodines que d’autres. Beaucoup de ces jeunes filles, ou jeunes femmes, résident dans la région d’Ajaccio. Des photographes professionnels y ont même retrouvé les photos de leurs clientes, leur copyright étaient encore apparent sur certaines d’entre elles.
Les victimes, particulièrement nombreuses, ont décidé pour la majorité d'entre elles de déposer plainte auprès du commissariat d’Ajaccio pour atteinte à la vie privée. Les plaintes peuvent aussi se faire en ligne et la convocation suivra.
Le compte pour l’heure semble avoir été fermé ou supprimé.