Les seuils observés actuellement ne nécessitent pas de modifier son comportement mais il est conseillé aux personnes sensibles d'éviter de faire des efforts à l’extérieur tant que les niveaux ne seront pas en baisse, et, le cas échéant, de respecter scrupuleusement les traitements médicaux en cours à visée respiratoire ou les adapter sur avis du médecin.
Normes réglementaires :
- Seuil 1 / information et de recommandation : 50 microgramme par mètre cube sur 24 heures glissantes
- Seuil 2 / alerte : 80 microgrammes par mètre cube sur 24 heures glissantes
Niveaux maxima enregistrées :
57 microgrammes par mètre cube sur 24 heures glissantes
(Valeur moyenne calculée sur 24 heures entre 28/04/2013 13:00 et 29/04/2013 13:00)
Evolution de la situation :
Selon les prévisions, l’épisode pourrait durer plusieurs jours et les concentrations dans l’air pourraient évoluer
défavorablement avec un maximum attendu en milieu de semaine.
Normes réglementaires :
- Seuil 1 / information et de recommandation : 50 microgramme par mètre cube sur 24 heures glissantes
- Seuil 2 / alerte : 80 microgrammes par mètre cube sur 24 heures glissantes
Niveaux maxima enregistrées :
57 microgrammes par mètre cube sur 24 heures glissantes
(Valeur moyenne calculée sur 24 heures entre 28/04/2013 13:00 et 29/04/2013 13:00)
Evolution de la situation :
Selon les prévisions, l’épisode pourrait durer plusieurs jours et les concentrations dans l’air pourraient évoluer
défavorablement avec un maximum attendu en milieu de semaine.
Prescriptions et recommandations
Voici les prescriptions et les recommandations du conseil supérieur d'hygiène public de France selon les secteurs d’activités permettant d’éviter une aggravation de la pollution.
"Le Conseil :
Attire l’attention des professionnels de santé, notamment des médecins généralistes, pédiatres,
allergologues et pneumologues, sur l’existence d’une sensibilité individuelle aux polluants
atmosphériques ; pour un enfant comme pour un adulte, c’est l’expérience ou, chez un patient,
l’évolution de sa maladie, qui permet de savoir si la pollution atmosphérique a un impact
perceptible sur sa santé ;
Demande aux parents et à tous les personnels s’occupant d’enfants (puéricultrices, assistantes
maternelles, enseignants, éducateurs, responsables d’éducation physique et sportive,...) d’être
vigilants vis-à-vis de l’apparition de symptômes évocateurs (toux, gêne respiratoire, irritation de
la gorge, des yeux,...) lors des épisodes de pollution et de ne pas hésiter à prendre un avis
médical ; ces pics pourraient, en effet, révéler une sensibilité particulière de certains enfants. Il
convient également de ne pas aggraver les effets de cette pollution en ajoutant des facteurs
irritants : fumée de tabac, utilisation de solvants,... ;
Conseille aux parents d’enfants asthmatiques de signaler l’asthme de leur enfant aux
responsables de la structure qui l’accueille. Il est rappelé qu’en milieu scolaire l’enfant
asthmatique peut bénéficier d’un projet d’accueil individualisé (PAI) ;
Recommande aux patients souffrant d’une pathologie chronique, asthmatiques, insuffisants
respiratoires ou cardiaques de respecter rigoureusement leur traitement de fond, d’être vigilants
par rapport à toute aggravation de leur état et de ne pas hésiter à consulter leur médecin ;
Rappelle aux patients asthmatiques qui sont sujets à des crises d’asthme déclenchées par l’effort
qu’ils peuvent, lors des épisodes de pollution atmosphérique, avoir recours à un
bronchodilatateur inhalé en prévention, selon les recommandations de leur médecin traitant."
"Le Conseil :
Attire l’attention des professionnels de santé, notamment des médecins généralistes, pédiatres,
allergologues et pneumologues, sur l’existence d’une sensibilité individuelle aux polluants
atmosphériques ; pour un enfant comme pour un adulte, c’est l’expérience ou, chez un patient,
l’évolution de sa maladie, qui permet de savoir si la pollution atmosphérique a un impact
perceptible sur sa santé ;
Demande aux parents et à tous les personnels s’occupant d’enfants (puéricultrices, assistantes
maternelles, enseignants, éducateurs, responsables d’éducation physique et sportive,...) d’être
vigilants vis-à-vis de l’apparition de symptômes évocateurs (toux, gêne respiratoire, irritation de
la gorge, des yeux,...) lors des épisodes de pollution et de ne pas hésiter à prendre un avis
médical ; ces pics pourraient, en effet, révéler une sensibilité particulière de certains enfants. Il
convient également de ne pas aggraver les effets de cette pollution en ajoutant des facteurs
irritants : fumée de tabac, utilisation de solvants,... ;
Conseille aux parents d’enfants asthmatiques de signaler l’asthme de leur enfant aux
responsables de la structure qui l’accueille. Il est rappelé qu’en milieu scolaire l’enfant
asthmatique peut bénéficier d’un projet d’accueil individualisé (PAI) ;
Recommande aux patients souffrant d’une pathologie chronique, asthmatiques, insuffisants
respiratoires ou cardiaques de respecter rigoureusement leur traitement de fond, d’être vigilants
par rapport à toute aggravation de leur état et de ne pas hésiter à consulter leur médecin ;
Rappelle aux patients asthmatiques qui sont sujets à des crises d’asthme déclenchées par l’effort
qu’ils peuvent, lors des épisodes de pollution atmosphérique, avoir recours à un
bronchodilatateur inhalé en prévention, selon les recommandations de leur médecin traitant."