Le 7 septembre, une détection satellitaire du système CleanSeaNet(*) signalait une suspicion de pollution à environ 15 km à l’Est des côtes corses. Un avion de la Douane s'est rendu sur zone et a confirmée la présence de quatre nappes, potentiellement des hydrocarbures, faisant entre 20 et 1,5 km de long sur une largeur d’environ 300 mètres.
Elles se situaient alors sur la côte Est de la Corse dans une zone allant de Bastia à Solenzara. L’Abeille Flandre, alors en prépositionnement au large de l’île en raison des conditions météorologiques, était aussitôt dépêchée sur place par le préfet maritime pour procéder à une évaluation plus précise et, le cas échéant, commencer à traiter la pollution.
A 17 heures, l’Abeille Flandre est arrivé sur la partie Nord de cette pollution et a commencé à procéder à un brassage mécanique pour diluer la nappe.
Dans le même temps, un avion de surveillance maritime (Falcon 50 de la Marine nationale) survolait la zone et relevait le début de dispersion des hydrocarbures, notamment par le brassage de la houle.
Ce jour, vendredi 8 en fin de matinée, un hélicoptère de la Douane a survolé à son tour la zone et n’a plus observé de traces de cette pollution. L’Abeille Flandre a donc repris sa patrouille de surveillance maritime autour de la Corse.
Depuis la détection satellitaire initiale, les services de la préfecture maritime de la Méditerranée à Toulon ont assuré un suivi, en lien avec les autorités terrestres et judiciaires, de la situation et le déploiement des moyens jugés nécessaires pour traiter cette pollution.
Elles se situaient alors sur la côte Est de la Corse dans une zone allant de Bastia à Solenzara. L’Abeille Flandre, alors en prépositionnement au large de l’île en raison des conditions météorologiques, était aussitôt dépêchée sur place par le préfet maritime pour procéder à une évaluation plus précise et, le cas échéant, commencer à traiter la pollution.
A 17 heures, l’Abeille Flandre est arrivé sur la partie Nord de cette pollution et a commencé à procéder à un brassage mécanique pour diluer la nappe.
Dans le même temps, un avion de surveillance maritime (Falcon 50 de la Marine nationale) survolait la zone et relevait le début de dispersion des hydrocarbures, notamment par le brassage de la houle.
Ce jour, vendredi 8 en fin de matinée, un hélicoptère de la Douane a survolé à son tour la zone et n’a plus observé de traces de cette pollution. L’Abeille Flandre a donc repris sa patrouille de surveillance maritime autour de la Corse.
Depuis la détection satellitaire initiale, les services de la préfecture maritime de la Méditerranée à Toulon ont assuré un suivi, en lien avec les autorités terrestres et judiciaires, de la situation et le déploiement des moyens jugés nécessaires pour traiter cette pollution.
(*) Service européen de détection satellite des nappes d’hydrocarbures qui renforce les capacités de surveillance des rejets volontaires et accidentels.