Cette manifestation, première du nom, s'adresse à tous les acteurs insulaires du jeu vidéo, qu'ils soient programmeurs, créateurs, graphistes, mais aussi joueurs occasionnels ou bien passionnés.
Plusieurs ateliers sont implantés dans la Médiathèque porto-vecchiaise qui a vécu ce matin à l'heure d'une conférence animée par LA référence hexagonale en matière de jeu vidéo à savoir Douglas Alvès, le parrain de la CGW, historien, journaliste, consultant dans tout ce qui touche de près ou de loin au jeu vidéo. Une pointure qui a fait un exposé très complet sur l'histoire du jeu vidéo depuis ses origines jusqu'à nos jours. Une matinée où différents ateliers, réservés aux plus jeunes, se sont, également, déroulés.
Ce samedi après-midi la CGW va se poursuivre tout avec de nombreux temps forts : des ateliers, un concours sur jeux rétro ainsi qu'un quizz.
Demain, dimanche, tout redémarrera à partir de 14 heures avant la clôture du festival programmée à 18 heures avec la remise des prix.
Plusieurs ateliers sont implantés dans la Médiathèque porto-vecchiaise qui a vécu ce matin à l'heure d'une conférence animée par LA référence hexagonale en matière de jeu vidéo à savoir Douglas Alvès, le parrain de la CGW, historien, journaliste, consultant dans tout ce qui touche de près ou de loin au jeu vidéo. Une pointure qui a fait un exposé très complet sur l'histoire du jeu vidéo depuis ses origines jusqu'à nos jours. Une matinée où différents ateliers, réservés aux plus jeunes, se sont, également, déroulés.
Ce samedi après-midi la CGW va se poursuivre tout avec de nombreux temps forts : des ateliers, un concours sur jeux rétro ainsi qu'un quizz.
Demain, dimanche, tout redémarrera à partir de 14 heures avant la clôture du festival programmée à 18 heures avec la remise des prix.
Vincent Gambini: "le jeu vidéo fait partie de la culture"
Trésorier de la Mission Locale Sud Corse, partenaire de cette première édition de la Corsica Games Week, mais également conseiller municipal en charge du développement durable, Vincent Gambini a évoqué l'importance de cette version initiale de la CGW.
"C'est innovant et je serais tenté de dire que c'est anormal que cela soit innovant, car le jeu vidéo, depuis des décennies, s'installe dans le quotidien des gens. C'est un secteur du monde culturel au sens large du terme qui a toujours été regardé, malheureusement, avec un œil un peu défiant et on n'a jamais accordé jusqu'à récemment au jeu vidéo la place qu'il mérite au même titre que le cinéma, la musique ou bien l'art au sens le plus large possible.
On arrive, désormais à une époque où le jeu vidéo prend enfin toute la place
qu'il mérite parce que c'est un secteur d'une importance capitale. Il ne
faut pas oublier que le produit culturel le plus vendu dans le monde depuis
plus d'une décennie c'est chaque année, de manière systématique, un jeu
vidéo. Je défends le jeu vidéo comme faisant partie à part entière du monde
de la culture".
La troisième ville de Corse ajoute ainsi une manifestation culturelle
supplémentaire à un panel déjà très étoffé.
"La Ville de Portivechju se positionne sur un secteur sur lequel pour l'instant il n'y avait pas énormément d'offres et puis c'est aussi une manière de donner une autre image du jeu vidéo qui ne se pratique pas au fond d'une chambre obscure et on se rend compte pour peu que l'on se donne la peine d'ouvrir son esprit que ce n'est pas le cas.. Le fait de faire un festival dans un lieu public comme l'Animu participe à casser ce cliché. On est , par conséquent, content que la Ville de Portivechju se positionne comme pionnière dans ce domaine, en ayant la chance d'avoir un lieu comme L'Animu, d'avoir des acteurs comme l'association Sud Corse Retrogaming et une collectivité qui accompagne cet effort et ce dynamisme, car il faut savoir que tout au long de l'année L'Animu propose des ateliers justement autour du jeu vidéo".
Le programme de la journée du dimanche 5 mars
14-17 heures : Concours sur un jeu récent (Mario Kart ou Smash Bros)
17-18 heures : remise des prix et clôture du festival.
"C'est innovant et je serais tenté de dire que c'est anormal que cela soit innovant, car le jeu vidéo, depuis des décennies, s'installe dans le quotidien des gens. C'est un secteur du monde culturel au sens large du terme qui a toujours été regardé, malheureusement, avec un œil un peu défiant et on n'a jamais accordé jusqu'à récemment au jeu vidéo la place qu'il mérite au même titre que le cinéma, la musique ou bien l'art au sens le plus large possible.
On arrive, désormais à une époque où le jeu vidéo prend enfin toute la place
qu'il mérite parce que c'est un secteur d'une importance capitale. Il ne
faut pas oublier que le produit culturel le plus vendu dans le monde depuis
plus d'une décennie c'est chaque année, de manière systématique, un jeu
vidéo. Je défends le jeu vidéo comme faisant partie à part entière du monde
de la culture".
La troisième ville de Corse ajoute ainsi une manifestation culturelle
supplémentaire à un panel déjà très étoffé.
"La Ville de Portivechju se positionne sur un secteur sur lequel pour l'instant il n'y avait pas énormément d'offres et puis c'est aussi une manière de donner une autre image du jeu vidéo qui ne se pratique pas au fond d'une chambre obscure et on se rend compte pour peu que l'on se donne la peine d'ouvrir son esprit que ce n'est pas le cas.. Le fait de faire un festival dans un lieu public comme l'Animu participe à casser ce cliché. On est , par conséquent, content que la Ville de Portivechju se positionne comme pionnière dans ce domaine, en ayant la chance d'avoir un lieu comme L'Animu, d'avoir des acteurs comme l'association Sud Corse Retrogaming et une collectivité qui accompagne cet effort et ce dynamisme, car il faut savoir que tout au long de l'année L'Animu propose des ateliers justement autour du jeu vidéo".
Le programme de la journée du dimanche 5 mars
14-17 heures : Concours sur un jeu récent (Mario Kart ou Smash Bros)
17-18 heures : remise des prix et clôture du festival.