Shaïline Culioli
À seulement 17 ans, Shaïline Culioli a été choisie par l’United World College parmi une centaine de candidats afin de préparer un baccalauréat international (IDBP). Durant les deux prochaines années, elle poursuivra l’équivalent d’une année de première puis de terminale dans une des 18 écoles de l’organisme.
Élève au lycée Jean-Paul de Rocca Serra de Porto-Vecchio, elle est la seule corse à participer à ce programme.
En France, seulement 16 élèves intégreront ce cursus. « J’attends la décision du comité mi-août qui décidera où j’irai. Durant 2 ans, je serai en immersion dans un campus avec des cours intégralement en anglais et des gens venant de 80 pays différents, ne parlant pas le français. D’autres langues sont possibles en fonction du choix de l’étudiant. » explique-t-elle fièrement. « Grâce à cette immersion totale, la langue choisie devient une langue de survie. En seulement 3 mois, les élèves sont bilingues. »
Les frais de scolarité s’élevant à 35 000 euros, les futurs étudiants doivent collecter des fonds afin de financer leurs bourses d’études. « Les bourses sont financées grâce aux récoltes de fonds et au mécénat, la date butoir est le 31 mars. 86% d’entre nous sont boursiers. »
Un accès aux plus grandes universités du monde
Cette formation ouvre les portes des plus prestigieuses universités. Même si la jeune femme ne se projette pas encore totalement sur sa carrière, elle réalise l’importance de cette aventure. « En France, Parcoursup ne suffit pas pour intégrer des universités prestigieuses dans le monde. Même si officiellement je commençais mes études à 19 ans, cette expérience en vaut la peine. Grâce à ce parcours, je mets toutes les chances de mon côté. Pour l’instant, je n’ai pas d’idée précise sur ce que je veux faire comme métier. Travailler dans les affaires internationales me tente, mais cela peut encore changer. »
L’UWC effectue sa sélection en fonction du niveau d’anglais, des aptitudes scolaires, de l’autonomie et surtout de la motivation des candidats. Son programme requiert une grande implication, puisque chaque élève doit représenter son pays. Un trait de caractère recherché dès la présélection. « C’est notre personnalité qui est évaluée. Pour la présélection, je suis partie un week-end en février à Paris. Là-bas, nous avons passé deux jours à vivre en communauté, à participer à des ateliers, à être évalués en entretien… »
Shaïline a découvert l’UWC lors de l’émission Sept à Huit diffusée sur TF1 en avril 2021. Pour elle, l’intégration de cet organisme réalise avant tout un rêve d’enfance. « Depuis toujours, je rêve de voyager, de découvrir le monde, de nouvelles cultures. C’est une très belle opportunité ! »
Pour faire un don : https://app.lacagnottedesproches.fr/cagnotte/en-route-pour-uwc-2024/
Élève au lycée Jean-Paul de Rocca Serra de Porto-Vecchio, elle est la seule corse à participer à ce programme.
En France, seulement 16 élèves intégreront ce cursus. « J’attends la décision du comité mi-août qui décidera où j’irai. Durant 2 ans, je serai en immersion dans un campus avec des cours intégralement en anglais et des gens venant de 80 pays différents, ne parlant pas le français. D’autres langues sont possibles en fonction du choix de l’étudiant. » explique-t-elle fièrement. « Grâce à cette immersion totale, la langue choisie devient une langue de survie. En seulement 3 mois, les élèves sont bilingues. »
Les frais de scolarité s’élevant à 35 000 euros, les futurs étudiants doivent collecter des fonds afin de financer leurs bourses d’études. « Les bourses sont financées grâce aux récoltes de fonds et au mécénat, la date butoir est le 31 mars. 86% d’entre nous sont boursiers. »
Un accès aux plus grandes universités du monde
Cette formation ouvre les portes des plus prestigieuses universités. Même si la jeune femme ne se projette pas encore totalement sur sa carrière, elle réalise l’importance de cette aventure. « En France, Parcoursup ne suffit pas pour intégrer des universités prestigieuses dans le monde. Même si officiellement je commençais mes études à 19 ans, cette expérience en vaut la peine. Grâce à ce parcours, je mets toutes les chances de mon côté. Pour l’instant, je n’ai pas d’idée précise sur ce que je veux faire comme métier. Travailler dans les affaires internationales me tente, mais cela peut encore changer. »
L’UWC effectue sa sélection en fonction du niveau d’anglais, des aptitudes scolaires, de l’autonomie et surtout de la motivation des candidats. Son programme requiert une grande implication, puisque chaque élève doit représenter son pays. Un trait de caractère recherché dès la présélection. « C’est notre personnalité qui est évaluée. Pour la présélection, je suis partie un week-end en février à Paris. Là-bas, nous avons passé deux jours à vivre en communauté, à participer à des ateliers, à être évalués en entretien… »
Shaïline a découvert l’UWC lors de l’émission Sept à Huit diffusée sur TF1 en avril 2021. Pour elle, l’intégration de cet organisme réalise avant tout un rêve d’enfance. « Depuis toujours, je rêve de voyager, de découvrir le monde, de nouvelles cultures. C’est une très belle opportunité ! »
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