La direction du centre pénitentiaire, directement mise en cause, " semblerait vouloir, par son comportement, freiner, voire empêcher le processus de rapprochement des prisonniers Corses dans l’île, par des agissements tendant à provoquer des comportements répréhensibles de la part des prisonniers politiques actuellement incarcérés à la prison de Borgu".
Fouilles aux corps indécentes, excès de zèle, harcèlement moral, et provocations de la hiérarchie pénitentiaire, ont pour but de déclencher un refus d’obtempérer de la part des prisonniers, qui permettra ensuite, d’instruire des procédures disciplinaires. Le but final étant de démontrer que le prisonnier politique est difficilement gérable sur place et de remettre ainsi en cause, le rapprochement des prisonniers politiques Corses qui est un droit inscrit dans la loi, lié à un décret d’application, et nul ne peut être au dessus de la loi… dénoncent Corsica Libera et l'Associu Sulidarita.
Corsica Libera et l’Associu Sulidarita, ont aussi apporté leur soutien à Carlu Santoni. Ce dernier, condamné à 28 ans de prison, pour le meurtre d’un policier du Raid, a fait l’objet d’une nouvelle demande de prélèvement d’ADN qu’il a refusé. Rappelons qu'à la d'un précédent refus, la cours de cassation, le 25 janvier 2012 lui avait donné raison sur les faits.
Carlu Santoni, prisonnier politique symbolique, qui a effectué la moitié de sa peine, subit les assauts répétés de la police justice, pour un fichage ADN. Conditionnable dans quelques temps, on peut se demander s’il n’y a pas là une relation de cause à effet. Déjà lors d’une dernière condamnation de 15 jours pour les mêmes faits, Carlu Santoni toutes avait perdu toutes ses réductions de peine, alors qu’il était libérable en 2018.
Une entrevue aura lieu le 15 octobre entre les présidents de la Collectivité territoriale, de l’assemblée de Corse et la ministre de la Justice. Corsica Libera et l’Associu Sulidarita espèrent une réponse positive, globale et définitive sur la question du rapprochement à l’issue de cette rencontre.
Fouilles aux corps indécentes, excès de zèle, harcèlement moral, et provocations de la hiérarchie pénitentiaire, ont pour but de déclencher un refus d’obtempérer de la part des prisonniers, qui permettra ensuite, d’instruire des procédures disciplinaires. Le but final étant de démontrer que le prisonnier politique est difficilement gérable sur place et de remettre ainsi en cause, le rapprochement des prisonniers politiques Corses qui est un droit inscrit dans la loi, lié à un décret d’application, et nul ne peut être au dessus de la loi… dénoncent Corsica Libera et l'Associu Sulidarita.
Corsica Libera et l’Associu Sulidarita, ont aussi apporté leur soutien à Carlu Santoni. Ce dernier, condamné à 28 ans de prison, pour le meurtre d’un policier du Raid, a fait l’objet d’une nouvelle demande de prélèvement d’ADN qu’il a refusé. Rappelons qu'à la d'un précédent refus, la cours de cassation, le 25 janvier 2012 lui avait donné raison sur les faits.
Carlu Santoni, prisonnier politique symbolique, qui a effectué la moitié de sa peine, subit les assauts répétés de la police justice, pour un fichage ADN. Conditionnable dans quelques temps, on peut se demander s’il n’y a pas là une relation de cause à effet. Déjà lors d’une dernière condamnation de 15 jours pour les mêmes faits, Carlu Santoni toutes avait perdu toutes ses réductions de peine, alors qu’il était libérable en 2018.
Une entrevue aura lieu le 15 octobre entre les présidents de la Collectivité territoriale, de l’assemblée de Corse et la ministre de la Justice. Corsica Libera et l’Associu Sulidarita espèrent une réponse positive, globale et définitive sur la question du rapprochement à l’issue de cette rencontre.