"Après le décret (no 2019-86 du 8/02/2019) relatif aux instituts régionaux d’administration (IRA), les arrêtés relatifs à la réforme des épreuves des concours d’accès (no CPAF1908739A du 28/03/2019) et de la formation initiale (no CPAF1912637A du 26/04/2019) au sein des IRA viennent également de paraitre. Malgré les oppositions, réaffirmées unanimement en comité technique par la représentation des agents et lors d’une session du conseil supérieur de la fonction publique d’Etat (formation), ils confirment, sans surprise, la casse programmée des instituts…
Ainsi, les nouvelles épreuves, identiques pour les trois concours, auront des conséquences néfastes sur l’attractivité des IRA notamment auprès des potentiels candidats, déjà agents publics ou issus du privé, en raison d’une préparation nécessairement plus contraignante !
De son côté, la nouvelle scolarité, hors sol, basée essentiellement sur un système aléatoire d’évaluation de compétences réduite à moins de cinq mois, en institut, aura pour conséquences, outre la suppression de 70 équivalents temps plein (ETP) par IRA, la mise en œuvre d’une formation dévaluée ne correspondant plus aux attentes que l’on peut avoir d’une administration moderne…
Le gouvernement de Macron poursuit sa casse des services publics !!!
Ainsi, les nouvelles épreuves, identiques pour les trois concours, auront des conséquences néfastes sur l’attractivité des IRA notamment auprès des potentiels candidats, déjà agents publics ou issus du privé, en raison d’une préparation nécessairement plus contraignante !
De son côté, la nouvelle scolarité, hors sol, basée essentiellement sur un système aléatoire d’évaluation de compétences réduite à moins de cinq mois, en institut, aura pour conséquences, outre la suppression de 70 équivalents temps plein (ETP) par IRA, la mise en œuvre d’une formation dévaluée ne correspondant plus aux attentes que l’on peut avoir d’une administration moderne…
Le gouvernement de Macron poursuit sa casse des services publics !!!
Les conséquences pour Bastia et la Corse se feront ressentir dès le mois de septembre 2019 avec près de 70 stagiaires-fonctionnaires (emplois) en moins pour la rentrée de la prochaine promotion."