Sur le fond de la réforme, l’APC a déjà émis des réserves sur l’application de coefficients amoindris dans l'épreuve de langue corse en option.
L’APC comprend également la préoccupation des professeurs qui pensent que les différentes réformes ont fait baisser les niveaux d'exigence de ce diplôme, au travers de réformes successives depuis trente ans. La nécessité actuelle de réforme du bac ne nous parait pas trouver une réponse dans la nouvelle formule proposée.
De plus le climat social et politique de la Corse, résultat de la politique inappropriée du Gouvernement actuel qui méprise les préoccupations des jeunes, de leurs familles et des enseignants, conduit à une exaspération légitime devant la négation du fait démocratique.
Toutefois nous estimons que les lycéens ne doivent pas être pénalisés dans la poursuite de leur scolarité. Les blocages des examens, dans ces circonstances, n’ont pas lieu d’être, d’autres moyens de protestation doivent être trouvés pour combattre ce texte. Nous appelons ainsi chacun à la responsabilité.
Nous saluons l’attitude responsable de Madame la Rectrice qui nous a rencontré à deux reprises à la suite des blocages du Laetitia et aux éventuels blocages à venir et qui a su prendre en compte nos attendus quant à la situation présente. Nous souhaitons qu’aucun lycéen ne soit pénalisé par ce mouvement.
Nous serons vigilants quant à l’évolution de la situation.
L’APC comprend également la préoccupation des professeurs qui pensent que les différentes réformes ont fait baisser les niveaux d'exigence de ce diplôme, au travers de réformes successives depuis trente ans. La nécessité actuelle de réforme du bac ne nous parait pas trouver une réponse dans la nouvelle formule proposée.
De plus le climat social et politique de la Corse, résultat de la politique inappropriée du Gouvernement actuel qui méprise les préoccupations des jeunes, de leurs familles et des enseignants, conduit à une exaspération légitime devant la négation du fait démocratique.
Toutefois nous estimons que les lycéens ne doivent pas être pénalisés dans la poursuite de leur scolarité. Les blocages des examens, dans ces circonstances, n’ont pas lieu d’être, d’autres moyens de protestation doivent être trouvés pour combattre ce texte. Nous appelons ainsi chacun à la responsabilité.
Nous saluons l’attitude responsable de Madame la Rectrice qui nous a rencontré à deux reprises à la suite des blocages du Laetitia et aux éventuels blocages à venir et qui a su prendre en compte nos attendus quant à la situation présente. Nous souhaitons qu’aucun lycéen ne soit pénalisé par ce mouvement.
Nous serons vigilants quant à l’évolution de la situation.