François Modesto
- Pourquoi le Sporting alors que vous auriez pu rester en Grèce ?
- Parce que c'est mon club de cœur. C'est vrai j'aurai pu poursuivre dans ce club qui m'a beaucoup donné et la décision a été difficile à prendre mais j'avais toujours en tête l'idée de finir ma carrière chez moi. Le discours avec l'entraîneur et les dirigeants a commencé il y a un an. Il a fini par se concrétiser.
- Le Sporting d'aujourd'hui par rapport à celui que vous avez quitté?
- Il y a un stade qui est presque fini. Il y a un centre d'entraînement. Mais par dessus tout ça il y a ce changement qui s'est opéré autour du Sporting. Depuis 3 ans il susxite un engouement extraordinaire. Et c'est ça, qui me plait bien, qui m'a poussé à rentrer chez moi…
- Votre challenge ?
- De retrouver mon club. De prendre énormément de plaisir à défendre son maillot. De retourner en Ligue 1 en sachant qu'il s'agit d'un championnat difficile. Et finir bien chez moi…
- La Ligue 1 d'aujourd'hui ?
- Quand je suis parti le niveau était un peu descendu. Aujourd'hui il y a de grandes équipes. Il y a beaucoup de différence entre les 4 ou 5 premiers et les autres. J'ai eu la possibilité de jouer la ligue des champions contre des clubs français. Sur 4 matches nous en avons gagné 3. Le constat que j'en ai fait c'est que c'est physique et que ça va très vite. Mais j'ai joué en Ligue 1 pendant 8 ans. C'est dire si je la connais…
- Le match du retour à Furiani ?
- Ça va être une émotion particulière. Il y a 17 ans j'y ai disputé mon premier match face à Monaco. Le stade était déjà plein à l'époque. Là ça va être pareil. Mais avec l'impatience en plus.
- Parce que c'est mon club de cœur. C'est vrai j'aurai pu poursuivre dans ce club qui m'a beaucoup donné et la décision a été difficile à prendre mais j'avais toujours en tête l'idée de finir ma carrière chez moi. Le discours avec l'entraîneur et les dirigeants a commencé il y a un an. Il a fini par se concrétiser.
- Le Sporting d'aujourd'hui par rapport à celui que vous avez quitté?
- Il y a un stade qui est presque fini. Il y a un centre d'entraînement. Mais par dessus tout ça il y a ce changement qui s'est opéré autour du Sporting. Depuis 3 ans il susxite un engouement extraordinaire. Et c'est ça, qui me plait bien, qui m'a poussé à rentrer chez moi…
- Votre challenge ?
- De retrouver mon club. De prendre énormément de plaisir à défendre son maillot. De retourner en Ligue 1 en sachant qu'il s'agit d'un championnat difficile. Et finir bien chez moi…
- La Ligue 1 d'aujourd'hui ?
- Quand je suis parti le niveau était un peu descendu. Aujourd'hui il y a de grandes équipes. Il y a beaucoup de différence entre les 4 ou 5 premiers et les autres. J'ai eu la possibilité de jouer la ligue des champions contre des clubs français. Sur 4 matches nous en avons gagné 3. Le constat que j'en ai fait c'est que c'est physique et que ça va très vite. Mais j'ai joué en Ligue 1 pendant 8 ans. C'est dire si je la connais…
- Le match du retour à Furiani ?
- Ça va être une émotion particulière. Il y a 17 ans j'y ai disputé mon premier match face à Monaco. Le stade était déjà plein à l'époque. Là ça va être pareil. Mais avec l'impatience en plus.
20 joueurs à la reprise. Rothen, c'est fini
20 joueurs se sont placés sous les ordres de Frédéric Hantz et de son staff technique dans le courant de l'après-midi de mardi.
Il y avait Landreau, Novaes, Vincensini, Diakité, Cioni, Modesto, Marchal, Choplin, Palmieri, Harek, Cahuzac, Sable, Yatabaré, André, Genest, Kesrü, Kashri, Raspentino, Ilan et Maoulida.
Dans le courant de la journée le club avait annoncé que Jérôme Rothen avait décidé de résilier son contrat avec le SCB.
Ce mercredi, Frédéric Hantz fait le point sur cette rerprise.
Il y avait Landreau, Novaes, Vincensini, Diakité, Cioni, Modesto, Marchal, Choplin, Palmieri, Harek, Cahuzac, Sable, Yatabaré, André, Genest, Kesrü, Kashri, Raspentino, Ilan et Maoulida.
Dans le courant de la journée le club avait annoncé que Jérôme Rothen avait décidé de résilier son contrat avec le SCB.
Ce mercredi, Frédéric Hantz fait le point sur cette rerprise.