Capture d'écran
A la place de la page d'accueil de l'établissement une image fixe sur laquelle on pouvait notamment lire : "Hacked by Moujahidin Team" et sous ce titre ce texte : "Nous représentons nos martyrs et nos Moujahidin… Nous ne oublierons pas vos crimes sur le 8 Mai 1945… On arrêtera pas de pirater le serveur Web français".
Et " Nous sommes des pirates algériens. Et c'est un message au gov français. Vous paierez le prix pour vos crimes dans notre pays".
Sous ce message défilent des images qui rappellent la guerre d'Algérie.
Le site de l'Ehpad n'est pas le seul a à s'être retrouvé dans cette situation.
Le site Internet de la mutuelle des personnels d'Air France (MNPAF) a été brièvement piraté dimanche par ce groupe se réclamant des «moudjahidin d'Algérie».
L'organisation s'en est, aussi, prise à plusieurs autres sites français durant le week-end. À son tableau de chasse, figurent par exemple une association de commerçants strasbourgeois, les Vitrines de Strasbourg ou bien encore la mairie de Serignan dans l'Hérault.
La situation est redevenue normale sur le site de l'Ehpad, hacké vers 14 heures, sur le coup de 19 heures après que l'hébergeur du site ait fait le nécessaire.
La gendarmerie saisie a ouvert une enquête.
Et " Nous sommes des pirates algériens. Et c'est un message au gov français. Vous paierez le prix pour vos crimes dans notre pays".
Sous ce message défilent des images qui rappellent la guerre d'Algérie.
Le site de l'Ehpad n'est pas le seul a à s'être retrouvé dans cette situation.
Le site Internet de la mutuelle des personnels d'Air France (MNPAF) a été brièvement piraté dimanche par ce groupe se réclamant des «moudjahidin d'Algérie».
L'organisation s'en est, aussi, prise à plusieurs autres sites français durant le week-end. À son tableau de chasse, figurent par exemple une association de commerçants strasbourgeois, les Vitrines de Strasbourg ou bien encore la mairie de Serignan dans l'Hérault.
La situation est redevenue normale sur le site de l'Ehpad, hacké vers 14 heures, sur le coup de 19 heures après que l'hébergeur du site ait fait le nécessaire.
La gendarmerie saisie a ouvert une enquête.