Les soutiens, les amis et les proches des deux personnes en garde à vue mais aussi nombre d'élus avaient fait le déplacement jusqu'à Borgu où un cordon de gendarmes mobiles protégeait l'accès.
Mais ce n'est pas cela qui contribua à faire tomber la tension. Bien au contraire.
Les gens rassemblés dans le calme mais déterminés ont, en effet, décidé de rester sur place tant que les Siscais en garde à vue ne seraient pas libérés.
Ils ont été bientôt rejoints par Gilles Simeoni, président du Conseil exécutif et Jean-Guy Talamoni, président de l'Assemblée de Corse pendant que d'autres élus appelaient la foule au calme.
Mais la détermination, nullement atténuée par les effets de l'attente, demeurait sur le visage des soutiens des deux habitants de Sisco.
C'est sans doute la raison pour laquelle Gilles Simeoni et Jean-Guy Talamoni ont décidé de jouer les intermédiaires avec les autorités judiciaires à Paris et en Corse.
Un peu plus tard ils revenaient. à Borgo pour annoncer que la garde à vue des deux Siscais n'allait pas tarder à être levée.
Ce qui, à la satisfaction, générale ne tarda pas.
La situation - délicate - était désamorcée.
Mais la tension devrait remonter dès ce jeudi avec la comparution immédiate des 5 personnes qui ont été mises en garde à vue pour "violence en réunion" et "violence en réunion avec armes"…
Mais ce n'est pas cela qui contribua à faire tomber la tension. Bien au contraire.
Les gens rassemblés dans le calme mais déterminés ont, en effet, décidé de rester sur place tant que les Siscais en garde à vue ne seraient pas libérés.
Ils ont été bientôt rejoints par Gilles Simeoni, président du Conseil exécutif et Jean-Guy Talamoni, président de l'Assemblée de Corse pendant que d'autres élus appelaient la foule au calme.
Mais la détermination, nullement atténuée par les effets de l'attente, demeurait sur le visage des soutiens des deux habitants de Sisco.
C'est sans doute la raison pour laquelle Gilles Simeoni et Jean-Guy Talamoni ont décidé de jouer les intermédiaires avec les autorités judiciaires à Paris et en Corse.
Un peu plus tard ils revenaient. à Borgo pour annoncer que la garde à vue des deux Siscais n'allait pas tarder à être levée.
Ce qui, à la satisfaction, générale ne tarda pas.
La situation - délicate - était désamorcée.
Mais la tension devrait remonter dès ce jeudi avec la comparution immédiate des 5 personnes qui ont été mises en garde à vue pour "violence en réunion" et "violence en réunion avec armes"…