Comme un symbole, lors de cet après-midi, il y avait, autour de la table, des Ukrainiennes, des Biélorusses et des Russes signe évident que ce conflit au cœur de l’Europe n’oppose pas les peuples, mais met en scène tragiquement les volontés hégémoniques du patron de la Russie Vladimir Poutine.
Olena Berezovska-Picciocchi qui est revenu sur la genèse de son livre et sur son implication dans cette démarche qui n’est pas seulement symbolique : « J’ai terminé ma thèse en 2012 qui a débouché sur ce livre Mazzeru Corse et Molfar des Carpates en 2019 et mon pays était déjà en guerre depuis 2014. Quand j’écrivais ce livre, je pensais déjà que la situation était terrible pour les gens qui vivaient en Ukraine. Aujourd’hui, j’ai juste envie de partager quelque chose avec les Ukrainiens et espérer, surtout, que cette guerre, cette folie s’arrête. Mon but est de permettre que l’argent récolté aujourd’hui puisse participer à aider les familles dans le besoin en Ukraine ».
Une situation dans son pays tragique à plus d’un titre pour Olena. « La réalité est très dure, la vie des Ukrainiens est rythmée par des sirènes. C’est la peur qui domine, même si une grande partie de la population est courageuse et veut défendre sa terre. Mais il y a de la souffrance et cela est catastrophique au niveau humain », rappelle Olena qui vient d’accueillir sa sœur en provenance d’Ukraine : « Elle était à l’ouest du pays loin des bombardements, mais très près de la peur. C’est quelque chose de physique, elle est véritablement terrorisée ».
Pour autant, le symbole était fort cet après-midi à la librairie Le Verbe du Soleil où femmes ukrainiennes, russes et biélorusses étaient côte à côte : « Ces femmes qui vivent en Corse voient la réalité en face, il ne peut pas y avoir d’animosité entre nous. Nous parlons la même langue et cette langue est pour la paix. Personne n’est là pour dire que la guerre n’existe pas, car alors il ne pourrait pas y avoir de dialogue entre nous. Tout le monde est conscient de ce qui se passe en Ukraine et que ce déchaînement de violence a été déclenché par la Russie. ».
Olena Berezovska-Picciocchi qui est revenu sur la genèse de son livre et sur son implication dans cette démarche qui n’est pas seulement symbolique : « J’ai terminé ma thèse en 2012 qui a débouché sur ce livre Mazzeru Corse et Molfar des Carpates en 2019 et mon pays était déjà en guerre depuis 2014. Quand j’écrivais ce livre, je pensais déjà que la situation était terrible pour les gens qui vivaient en Ukraine. Aujourd’hui, j’ai juste envie de partager quelque chose avec les Ukrainiens et espérer, surtout, que cette guerre, cette folie s’arrête. Mon but est de permettre que l’argent récolté aujourd’hui puisse participer à aider les familles dans le besoin en Ukraine ».
Une situation dans son pays tragique à plus d’un titre pour Olena. « La réalité est très dure, la vie des Ukrainiens est rythmée par des sirènes. C’est la peur qui domine, même si une grande partie de la population est courageuse et veut défendre sa terre. Mais il y a de la souffrance et cela est catastrophique au niveau humain », rappelle Olena qui vient d’accueillir sa sœur en provenance d’Ukraine : « Elle était à l’ouest du pays loin des bombardements, mais très près de la peur. C’est quelque chose de physique, elle est véritablement terrorisée ».
Pour autant, le symbole était fort cet après-midi à la librairie Le Verbe du Soleil où femmes ukrainiennes, russes et biélorusses étaient côte à côte : « Ces femmes qui vivent en Corse voient la réalité en face, il ne peut pas y avoir d’animosité entre nous. Nous parlons la même langue et cette langue est pour la paix. Personne n’est là pour dire que la guerre n’existe pas, car alors il ne pourrait pas y avoir de dialogue entre nous. Tout le monde est conscient de ce qui se passe en Ukraine et que ce déchaînement de violence a été déclenché par la Russie. ».