Mais que l'on ne se méprenne pas sur le sens de notre propos.
On ne vient pas vous dire ici que les supporters du club sont les plus fair-play de France et de Navarre.
Que tous les arbitres brandissent du jaune et du rouge à tour de bras dès qu'ils ont à composer avec le Sporting.
Et que les commissions qui tous les jeudis soir se penchent sur tous les dossiers qui viennent de Furiani jugent à tort et à travers.
Non.
Mais nous sommes quand même en droit de poser certaines questions.
Les supporters ont fauté à Ajaccio, mais qui, après la décision préfectorale, étaient chargés de fouiller l'ensemble des spectateurs ce jour-là?
Et après ça fallait-il absolument décréter le huis clos pour Bastia-OM ? Et dans le même temps autoriser ce rassemblement et la projection sur écran géant du match du côté de la tribune Sud ?
Et ce sont bien Frédéric Hantz et Jerôme Rothen, qui ne sont spécialement corses, qui affirment leur ras le bol lorsque leur parle de l'arbitrage qui est pratiqué à l'encontre du club ?
Et que penser de la célérité avec laquelle la fameuse commission de discipline de la LFP tombe à bras raccourcis sur le SCB jugé et condamné sans être entendu ?
Aujourd'hui le cas du club a ému jusqu'à Noël Le Graet, le président de la FFF, qui, conscient que l'on ne peut interdire de football Furiani à vie, propose de jouer les médiateurs avec la LFP et de venir en Corse rencontrer toutes les composantes du football insjulaire.
Inviter tout le monde à remettre le jeu au centre du terrain, ce ne serait pas plus mal, en effet.
Et comme l'écrit notre confrère l'Alsace ce serait incontestablement le meilleur moyen de faire taire les plus idiots des suiveurs de la Ligue 1 : oui, les équipes corses savent jouer au foot autrement qu’à coups de bombes agricoles et d’intimidation ; oui, le promu bastiais, actuel 15 e du championnat avec 19 points, a les armes - techniques et physiques - pour se maintenir. Et en Beauté si ça se trouve.
C'est la raison pour laquelle il faut garder la tête froide pour, à tous les niveaux, laisser la tempête passer. Et repartir, de plus belle, vers l'avant…
Ce jour-là, tous ceux qui, ici et ailleurs, se frottent les mains chaque fois que la foudre frappe le Sporting riront, alors, peut être jaune !
On ne vient pas vous dire ici que les supporters du club sont les plus fair-play de France et de Navarre.
Que tous les arbitres brandissent du jaune et du rouge à tour de bras dès qu'ils ont à composer avec le Sporting.
Et que les commissions qui tous les jeudis soir se penchent sur tous les dossiers qui viennent de Furiani jugent à tort et à travers.
Non.
Mais nous sommes quand même en droit de poser certaines questions.
Les supporters ont fauté à Ajaccio, mais qui, après la décision préfectorale, étaient chargés de fouiller l'ensemble des spectateurs ce jour-là?
Et après ça fallait-il absolument décréter le huis clos pour Bastia-OM ? Et dans le même temps autoriser ce rassemblement et la projection sur écran géant du match du côté de la tribune Sud ?
Et ce sont bien Frédéric Hantz et Jerôme Rothen, qui ne sont spécialement corses, qui affirment leur ras le bol lorsque leur parle de l'arbitrage qui est pratiqué à l'encontre du club ?
Et que penser de la célérité avec laquelle la fameuse commission de discipline de la LFP tombe à bras raccourcis sur le SCB jugé et condamné sans être entendu ?
Aujourd'hui le cas du club a ému jusqu'à Noël Le Graet, le président de la FFF, qui, conscient que l'on ne peut interdire de football Furiani à vie, propose de jouer les médiateurs avec la LFP et de venir en Corse rencontrer toutes les composantes du football insjulaire.
Inviter tout le monde à remettre le jeu au centre du terrain, ce ne serait pas plus mal, en effet.
Et comme l'écrit notre confrère l'Alsace ce serait incontestablement le meilleur moyen de faire taire les plus idiots des suiveurs de la Ligue 1 : oui, les équipes corses savent jouer au foot autrement qu’à coups de bombes agricoles et d’intimidation ; oui, le promu bastiais, actuel 15 e du championnat avec 19 points, a les armes - techniques et physiques - pour se maintenir. Et en Beauté si ça se trouve.
C'est la raison pour laquelle il faut garder la tête froide pour, à tous les niveaux, laisser la tempête passer. Et repartir, de plus belle, vers l'avant…
Ce jour-là, tous ceux qui, ici et ailleurs, se frottent les mains chaque fois que la foudre frappe le Sporting riront, alors, peut être jaune !