Louis Semidei reconduit dans ses fonctions de président du Syndicat d'électrification de Haute-Corse.
C’est une élection d’importance et d’ordinaire fort courue. Samedi matin, la quasi-totalité des maires ou délégués - 230 sur les 234 communes du département - étaient physiquement présents à la salle des fêtes de Borgo pour élire le nouveau président du Syndicat d’électrification et d’éclairage public de la Haute-Corse (SIEP). Une ambiance un peu tendue entre les deux candidats en lice : le président sortant, Louis Semidei, conseiller municipal de Linguizetta, qui briguait un nouveau mandat, et Antoine Poli, président de la Communauté de communes de Castagniccia-Casinca, également président de l’Association des maires ruraux de Haute-Corse.
Du monde donc, un protocole sanitaire scrupuleusement respecté - masques, gel et distance règlementaire – et des opérations de vote encadrées par le personnel de la mairie de Borgo et du SIEP. Et un scrutin qui s’est finalement déroulé sereinement malgré une campagne électorale que le président sortant, reconduit dans ses fonctions, n’a pas hésité à qualifier de « nauséabonde ». Les délégués sont tous passés par l’isoloir sur le principe : une voix par commune, quelque soit la taille de la commune. Deux exceptions : Bastia et Corte qui ne dépendent pas du syndicat. Le suspense a pris fin à mi-dépouillement où Louis Semidei avait déjà une belle longueur d’avance sur son concurrent. Au final, il a recueilli 153 voix, contre 75 voix à Antoine Poli, 1 bulletin blanc et 1 nul, soit pratiquement 100% de participation avec les pouvoirs.
L’élection des vice-présidents s’est faite rapidement sur un scrutin de liste à mains levées et sans l’opposition qui avait, entre temps, quitté les lieux. Le président a remercié chaleureusement les maires, salué leur fidélité, déploré « une campagne de dénigrement » et constaté que « les urnes avaient largement parlé ». La prochaine assemblée générale, qui se tiendra dans la foulée, certainement au mois d’août, débattra du budget, des délégations et de l’organisation de la Commission permanente.
Du monde donc, un protocole sanitaire scrupuleusement respecté - masques, gel et distance règlementaire – et des opérations de vote encadrées par le personnel de la mairie de Borgo et du SIEP. Et un scrutin qui s’est finalement déroulé sereinement malgré une campagne électorale que le président sortant, reconduit dans ses fonctions, n’a pas hésité à qualifier de « nauséabonde ». Les délégués sont tous passés par l’isoloir sur le principe : une voix par commune, quelque soit la taille de la commune. Deux exceptions : Bastia et Corte qui ne dépendent pas du syndicat. Le suspense a pris fin à mi-dépouillement où Louis Semidei avait déjà une belle longueur d’avance sur son concurrent. Au final, il a recueilli 153 voix, contre 75 voix à Antoine Poli, 1 bulletin blanc et 1 nul, soit pratiquement 100% de participation avec les pouvoirs.
L’élection des vice-présidents s’est faite rapidement sur un scrutin de liste à mains levées et sans l’opposition qui avait, entre temps, quitté les lieux. Le président a remercié chaleureusement les maires, salué leur fidélité, déploré « une campagne de dénigrement » et constaté que « les urnes avaient largement parlé ». La prochaine assemblée générale, qui se tiendra dans la foulée, certainement au mois d’août, débattra du budget, des délégations et de l’organisation de la Commission permanente.