Le communiqué des syndicats
Nous alertons depuis des mois sur les risques encourus pour nos entreprises, pour les 200 emplois et pour l’avenir de l’unique quotidien de presse écrite de l’île dans cette procédure de cession des parts détenus par feu Bernard Tapie dans le groupe la Provence.
Pris au piège d’un pacte d’actionnaires conclu entre Bernard Tapie peu avant son décès et Xavier Niel actionnaire minoritaire du groupe, l’avenir des 6 entreprises concernées est ballotté de tribunaux en tribunaux par ce dernier qui, malgré un projet dangereux de casse sociale, tente de « récupérer » le groupe contre un concurrent dont le projet a reçu l’avis favorable des 6 CSE et de l’ensemble des parties concernées.
Le projet d’investissement et l’engagement du maintien des 850 emplois actés dans l’offre de CMA CGM, offrent les perspectives d’une relance économique et sociale !
Si l’ordonnance du juge de Bobigny n’est pas en mesure le 30 septembre prochain de prononcer la cession en faveur de CMA CGM, alors, nos entreprises dont l’équilibre financier est alarmant, se trouveraient en situation d’être placées en procédure de sauvegarde.
En d’autres termes, les contestations en justice à répétition de l’actionnaire minoritaire, qui souhaite bloquer par tous les moyens la cession des parts qui ne lui est pas favorable, ont placé nos entreprises et nos emplois dans une situation inextricable et dangereuse !
Nous appelons les autorités compétentes à prendre une bonne fois pour toutes les décisions et les mesures qui permettent à cette cession d’aboutir enfin, et par la même permettent d’éviter un placement en redressement judiciaire et un risque considérable pour 200 emplois en Corse et 650 à Marseille
Pris au piège d’un pacte d’actionnaires conclu entre Bernard Tapie peu avant son décès et Xavier Niel actionnaire minoritaire du groupe, l’avenir des 6 entreprises concernées est ballotté de tribunaux en tribunaux par ce dernier qui, malgré un projet dangereux de casse sociale, tente de « récupérer » le groupe contre un concurrent dont le projet a reçu l’avis favorable des 6 CSE et de l’ensemble des parties concernées.
Le projet d’investissement et l’engagement du maintien des 850 emplois actés dans l’offre de CMA CGM, offrent les perspectives d’une relance économique et sociale !
Si l’ordonnance du juge de Bobigny n’est pas en mesure le 30 septembre prochain de prononcer la cession en faveur de CMA CGM, alors, nos entreprises dont l’équilibre financier est alarmant, se trouveraient en situation d’être placées en procédure de sauvegarde.
En d’autres termes, les contestations en justice à répétition de l’actionnaire minoritaire, qui souhaite bloquer par tous les moyens la cession des parts qui ne lui est pas favorable, ont placé nos entreprises et nos emplois dans une situation inextricable et dangereuse !
Nous appelons les autorités compétentes à prendre une bonne fois pour toutes les décisions et les mesures qui permettent à cette cession d’aboutir enfin, et par la même permettent d’éviter un placement en redressement judiciaire et un risque considérable pour 200 emplois en Corse et 650 à Marseille