"La situation actuelle des enfants, des femmes et des hommes arrivés de Syrie en détresse nous inquiète" écrit la LDH qui souligne encore que "logées dans un hôtel, ces personnes ne sont désormais plus accessibles depuis hier soir. Empêchés par des gendarmes, des élus n’ont pu les rencontrer."
Et la LDH pose la question de savoir si "un arrêté été pris pour les placer en zone d’attente provisoire, ce qui seul peut justifier ce traitement ? En ce cas, ces personnes ont droit à un avocat désigné par la bâtonnière".
Or, ce jeudi soir, Maître Tiberi a informé la LDH "qu’elle n’a pas eu de sollicitation de la préfecture en ce sens".
"Dans ce cas en outre, l’Etat prend en charge les besoins en logement et en nourriture de ces personnes. Or, la Mairie de Porto-Vecchio nous indique qu’elle continue à financer ces besoins."
Autre question de la LDH : "qu’en est-il de la situation de ces personnes d’un point de vue de la loi, ni information sur le droit d’asile, ni conseil de la part d’un avocat alors que se profile un transfert vers Marseille ? »
Et la LDH pose la question de savoir si "un arrêté été pris pour les placer en zone d’attente provisoire, ce qui seul peut justifier ce traitement ? En ce cas, ces personnes ont droit à un avocat désigné par la bâtonnière".
Or, ce jeudi soir, Maître Tiberi a informé la LDH "qu’elle n’a pas eu de sollicitation de la préfecture en ce sens".
"Dans ce cas en outre, l’Etat prend en charge les besoins en logement et en nourriture de ces personnes. Or, la Mairie de Porto-Vecchio nous indique qu’elle continue à financer ces besoins."
Autre question de la LDH : "qu’en est-il de la situation de ces personnes d’un point de vue de la loi, ni information sur le droit d’asile, ni conseil de la part d’un avocat alors que se profile un transfert vers Marseille ? »