La semaine dernière, dans la nuit de jeudi à vendredi, des propos injurieux, insultants et menaçants ont été inscrits sur le mur des locaux de RCFM. Les tags étaient notamment destinés au directeur de la radio, Franck Lidon : "Je pense que c'est nauséabond".
Aujourd'hui a été organisé à l'initiative du personnel, des élus et des organisations syndicales, un rassemblement de soutien devant leurs locaux à Bastia.
Parmi les personnalités politiques, syndicales et associatives étaient aussi présents bon nombre de confrères des médias insulaires et de fidèles auditeurs.
En outre, Jean Emmanuel Casalta, directeur de France Bleu, avait fait le déplacement : "Il ne peut y avoir qu'une condamnation immédiate, claire et déterminée. On ne peut pas accepter ça et nous ne l'acceptons pas."
Aujourd'hui a été organisé à l'initiative du personnel, des élus et des organisations syndicales, un rassemblement de soutien devant leurs locaux à Bastia.
Parmi les personnalités politiques, syndicales et associatives étaient aussi présents bon nombre de confrères des médias insulaires et de fidèles auditeurs.
En outre, Jean Emmanuel Casalta, directeur de France Bleu, avait fait le déplacement : "Il ne peut y avoir qu'une condamnation immédiate, claire et déterminée. On ne peut pas accepter ça et nous ne l'acceptons pas."
"Cet acte touche tous les journalistes"
Selon Franck Lidon : "cet acte touche tous les journalistes, tous ceux qui sont là pour informer et aujourd'hui il faut dire STOP." Il affirme "oui, je continuerai de faire mon travail au sein du service public", "ce n'est pas acceptable parce que c'est refuser la pluralité, la différence."
Jean Emmanuel Casalta, lui, évoque les 1 500 collaborateurs qui travaillent chaque jour dans le groupe France bleu et estime qu'il "ne faut pas chercher à comprendre, il faut refuser. La liberté de la presse, la liberté d'expression, la liberté de penser... tout va ensemble et on ne peut pas transiger."
Deux plaintes ont été déposées dès la découverte des tags. La première par la présidente de Radio France, au nom du groupe et la seconde par Franck Lidon lui-même, directeur de RCFM. L'enquête a été prise en charge par les services de police.
Un rassemblement similaire a eu lieu à Ajaccio.
Jean Emmanuel Casalta, lui, évoque les 1 500 collaborateurs qui travaillent chaque jour dans le groupe France bleu et estime qu'il "ne faut pas chercher à comprendre, il faut refuser. La liberté de la presse, la liberté d'expression, la liberté de penser... tout va ensemble et on ne peut pas transiger."
Deux plaintes ont été déposées dès la découverte des tags. La première par la présidente de Radio France, au nom du groupe et la seconde par Franck Lidon lui-même, directeur de RCFM. L'enquête a été prise en charge par les services de police.
Un rassemblement similaire a eu lieu à Ajaccio.