« Il n’y a jamais de gestes anodins. La Ligue des droits de l’Homme condamne les graffitis qui ont souillé les murs du consulat du Maroc et de Biguglia. Elle apporte son soutien aux victimes de cette violence. De la menace anonyme à l’incendie d’un lieu de culte en passant par des inscriptions sur des bâtiments, le racisme s’exprime de manière sporadique mais récurrente. Il faut être vigilant. En matière de racisme, il n’y a jamais de gestes anodins. Il y a la nécessité de ne jamais minimiser et de n’accepter aucune banalisation. »