L’espoir est revenu au stade Michel-Moretti après la belle victoire obtenue face à Caen, vendredi dernier (2-1), au terme d’une grande débauche d’énergie. Une victoire qui permet aux Ajacciens de remonter à la 16e place, synonyme de barrages, et qui a surtout fait du bien dans les têtes, comme le confirme Thierry Debès, le coach ajaccien : « Après, le derby, cela avait été très dur, mais les joueurs ont su se remobiliser. On a essayé de mettre en place un maximum de rigueur, c’était essentiel. Contre Caen, nous avons produit de très belles séquences, et j’ai beaucoup aimé leur réaction. Beaucoup d’équipes se seraient effondrées en étant menées contre le cours du jeu. On aurait même pu alourdir le score en fin de match ».
Grâce à cette victoire, et la défaite de Troyes à domicile, en clôture de la 19e journée, les Ajacciens reviennent à trois points de la quinzième place. De quoi raviver les flammes de l’espoir. « Dans ce championnat de Ligue 2, tout peut aller très vite. Je l’avais dit aux joueurs. Il ne faut pas oublier que l’on était au plus bas, il y a quinze jours. On est revenus dans le coup et on va tout faire pour recoller complètement. Aujourd’hui, nous ne sommes plus relégables, mais seulement barragistes. Pour recoller aux équipes qui les précèdent, les Ajacciens vont devoir être performants à domicile, mais aussi et surtout résoudre l’équation de leurs problèmes récurrents hors de leurs bases.
Réussir enfin à faire mieux à l’extérieur
Avec un match nul, huit défaites, et seulement deux petits buts marqués à l’extérieur, l’AC Ajaccio est la plus mauvaise équipe du championnat. Comment y remédier ? Thierry Debès a sa petite idée : « On a beaucoup discuté avec les joueurs cette semaine à propos de cette situation. On a essayé de mettre des choses en place. On va être ambitieux pour prendre des points à l’extérieur. On ne va pas à Rodez uniquement pour subir et espérer un match nul. On va y aller pour gagner. Il faudrait réussir à gagner un des deux matchs consécutifs à l’extérieur où notre bilan est désastreux. On ne part pas la peur au ventre à Rodez. Dans cette Ligue 2, rien n’est prévisible. Le dernier peut aller gagner chez le leader, c’est un championnat très homogène. Il faut que l’on gagne encore 6 victoires pour se sauver. S’il faut gagner Lorient et le Paris FC pour se maintenir, et bien, nous ferons ce qu’il faut pour l’emporter. Il ne faut pas se fixer de limites ».
Les Ajacciens se déplacent à Rodez, 13e et qui ne compte que 5 points d’avance sur eux. Une équipe dont se méfie le coach acéiste : « C’est une équipe qu’on doit respecter. Ils ont un projet de jeu qui fonctionne depuis deux ans. Ils partent avec peu de moyens, mais ils s’en sortent toujours. Ils marquent beaucoup de buts et produisent beaucoup de jeu. À nous d’être prêts à les contrer ».
Pour ce match, l’ACA sera encore privé de nombreux joueurs. Santelli s’est blessé à la cheville et rejoint l’infirmerie en compagnie de Youssouf, Quemper, Campanini, Jacob et Touzghar tandis que Christopher Ibayi a été transféré vers un club suisse, avec indemnités de transfert. Mangani et Touré sont, quant à eux, de retour alors que la jeune attaquant Merouga fait son apparition dans le groupe.
Le groupe ajaccien à Rodez
Sollacaro, Quilicchini, Kouassi, Ayessa, Strata, Vidal, Bamba, Barreto, Mangani, Anziani, Puch, Jabol, Touré, Soumano, Chegra, Kanté, Merouga
Grâce à cette victoire, et la défaite de Troyes à domicile, en clôture de la 19e journée, les Ajacciens reviennent à trois points de la quinzième place. De quoi raviver les flammes de l’espoir. « Dans ce championnat de Ligue 2, tout peut aller très vite. Je l’avais dit aux joueurs. Il ne faut pas oublier que l’on était au plus bas, il y a quinze jours. On est revenus dans le coup et on va tout faire pour recoller complètement. Aujourd’hui, nous ne sommes plus relégables, mais seulement barragistes. Pour recoller aux équipes qui les précèdent, les Ajacciens vont devoir être performants à domicile, mais aussi et surtout résoudre l’équation de leurs problèmes récurrents hors de leurs bases.
Réussir enfin à faire mieux à l’extérieur
Avec un match nul, huit défaites, et seulement deux petits buts marqués à l’extérieur, l’AC Ajaccio est la plus mauvaise équipe du championnat. Comment y remédier ? Thierry Debès a sa petite idée : « On a beaucoup discuté avec les joueurs cette semaine à propos de cette situation. On a essayé de mettre des choses en place. On va être ambitieux pour prendre des points à l’extérieur. On ne va pas à Rodez uniquement pour subir et espérer un match nul. On va y aller pour gagner. Il faudrait réussir à gagner un des deux matchs consécutifs à l’extérieur où notre bilan est désastreux. On ne part pas la peur au ventre à Rodez. Dans cette Ligue 2, rien n’est prévisible. Le dernier peut aller gagner chez le leader, c’est un championnat très homogène. Il faut que l’on gagne encore 6 victoires pour se sauver. S’il faut gagner Lorient et le Paris FC pour se maintenir, et bien, nous ferons ce qu’il faut pour l’emporter. Il ne faut pas se fixer de limites ».
Les Ajacciens se déplacent à Rodez, 13e et qui ne compte que 5 points d’avance sur eux. Une équipe dont se méfie le coach acéiste : « C’est une équipe qu’on doit respecter. Ils ont un projet de jeu qui fonctionne depuis deux ans. Ils partent avec peu de moyens, mais ils s’en sortent toujours. Ils marquent beaucoup de buts et produisent beaucoup de jeu. À nous d’être prêts à les contrer ».
Pour ce match, l’ACA sera encore privé de nombreux joueurs. Santelli s’est blessé à la cheville et rejoint l’infirmerie en compagnie de Youssouf, Quemper, Campanini, Jacob et Touzghar tandis que Christopher Ibayi a été transféré vers un club suisse, avec indemnités de transfert. Mangani et Touré sont, quant à eux, de retour alors que la jeune attaquant Merouga fait son apparition dans le groupe.
Le groupe ajaccien à Rodez
Sollacaro, Quilicchini, Kouassi, Ayessa, Strata, Vidal, Bamba, Barreto, Mangani, Anziani, Puch, Jabol, Touré, Soumano, Chegra, Kanté, Merouga