(Archives CNI)
"Dans le cadre de la poursuite de l’action judiciaire dans la lutte contre les trafics de stupéfiants en Corse-du-Sud, les services de la police judiciaire (Direction territoriale) d’Ajaccio en lien avec le GIR (Groupe interministériel de recherches) de Corse et l’antenne OFAST (office anti stupéfiants) 13 ont procédé hier à l’interpellation, sous l’autorité d’un juge d’instruction et du parquet d’Ajaccio, de 7 individus", indique le procureur de la République d'Ajaccio.
Nicolas Septe qui salue "l’action de la PJ d’Ajaccio qui aura mené une enquête minutieuse et avec détermination" souligne que ces nouvelles arrestations dans le milieu des stupéfiants ont permis de saisir 14 000 euros en espèces et surtout 5 armes dont certaines qualifiées d’armes de guerre.
"Des armes de guerre"
Pour le procureur de la République "ce trafic illustre les liens entre le continent et la région marseillaise avec la Corse, la vente des produits stupéfiants étant destinée à alimenter Ajaccio et sa périphérie, l’argent issu de ces ventes étant destinées à retourner sur la région marseillaise auprès de différents fournisseurs."
"L’utilisation d’armes de guerre traduit la violence de ce milieu et la dangerosité évidente de cette délinquance " poursuit Nicolas Septe en rappelant que la lutte contre les trafics de stupéfiants reste un des défis majeurs et une priorité d’action de l’autorité judiciaire et de l’ensemble des services d’enquête.
"Ce nouveau coup de filet dans le milieu des stupéfiants démontre la détermination qui est la nôtre à endiguer les trafics. Les renforts attendus au parquet d’Ajaccio à la rentrée de septembre seront notamment positionnés pour accentuer encore la lutter contre les trafics de stupéfiants dans notre département" prévient le procureur.
Dans cette affaire les gardes à vue se poursuivent et peuvent aller jusqu’à 96 heures.
Nicolas Septe qui salue "l’action de la PJ d’Ajaccio qui aura mené une enquête minutieuse et avec détermination" souligne que ces nouvelles arrestations dans le milieu des stupéfiants ont permis de saisir 14 000 euros en espèces et surtout 5 armes dont certaines qualifiées d’armes de guerre.
"Des armes de guerre"
Pour le procureur de la République "ce trafic illustre les liens entre le continent et la région marseillaise avec la Corse, la vente des produits stupéfiants étant destinée à alimenter Ajaccio et sa périphérie, l’argent issu de ces ventes étant destinées à retourner sur la région marseillaise auprès de différents fournisseurs."
"L’utilisation d’armes de guerre traduit la violence de ce milieu et la dangerosité évidente de cette délinquance " poursuit Nicolas Septe en rappelant que la lutte contre les trafics de stupéfiants reste un des défis majeurs et une priorité d’action de l’autorité judiciaire et de l’ensemble des services d’enquête.
"Ce nouveau coup de filet dans le milieu des stupéfiants démontre la détermination qui est la nôtre à endiguer les trafics. Les renforts attendus au parquet d’Ajaccio à la rentrée de septembre seront notamment positionnés pour accentuer encore la lutter contre les trafics de stupéfiants dans notre département" prévient le procureur.
Dans cette affaire les gardes à vue se poursuivent et peuvent aller jusqu’à 96 heures.