"Loulou" Medori accroupis à gauche durant la saison 60-61 : trop jeune pour jouer avec les plus grands à l'époque où le rugby balbutiait à Bastia...
Ceux qui, comme nous, avaient eu le bonheur de le fréquenter à cette période; garderont le souvenir d'un garçon charmant avec toujours au coin des lèvres ce sourire qui suscitait instantanément la sympathie.
Certes les circonstances de la vie ont ensuite séparé "Loulou" de ses compagnons de l'époque, mais de cette tranche de vie joyeuse et insouciante qui caractérisait les pionniers du rugby bastiais, que l'on pratiquait sur les… cailloux du stade de l'Arinella et où les équipements étaient inexistants, reste le souvenir d'une belle amitié qui, même si elle ne s'est plus manifestée que très rarement par la suite, n'en était pas moins forte et réelle.
Aujourd'hui "Loulou", après bien d'autres de ses partenaires de cette belle période, s'en est allé.
Trop tôt. Trop jeune pour tous ceux qui l'ont connu et aimé.
Son épouse, ses enfants, son petit-fils, ses frères et sœurs, et tous ceux qui avaient eu le bonheur de l'apprécier et de le connaître, l'ont accompagné à sa dernière demeure du cimetière de Travu après les obsèques célébrées, avec l'émotion que l'on imagine, à l'église Saint Pancrace.
CNI s'associe à leur douleur et présente, à son tour, l'expression de ses sincères condoléances à tous ceux auxquelsi "Loulou" manque aujourd'hui…
Certes les circonstances de la vie ont ensuite séparé "Loulou" de ses compagnons de l'époque, mais de cette tranche de vie joyeuse et insouciante qui caractérisait les pionniers du rugby bastiais, que l'on pratiquait sur les… cailloux du stade de l'Arinella et où les équipements étaient inexistants, reste le souvenir d'une belle amitié qui, même si elle ne s'est plus manifestée que très rarement par la suite, n'en était pas moins forte et réelle.
Aujourd'hui "Loulou", après bien d'autres de ses partenaires de cette belle période, s'en est allé.
Trop tôt. Trop jeune pour tous ceux qui l'ont connu et aimé.
Son épouse, ses enfants, son petit-fils, ses frères et sœurs, et tous ceux qui avaient eu le bonheur de l'apprécier et de le connaître, l'ont accompagné à sa dernière demeure du cimetière de Travu après les obsèques célébrées, avec l'émotion que l'on imagine, à l'église Saint Pancrace.
CNI s'associe à leur douleur et présente, à son tour, l'expression de ses sincères condoléances à tous ceux auxquelsi "Loulou" manque aujourd'hui…