Il a été arrêté sans violence à Bastelicaccia, en périphérie d'Ajaccio, et a été placé en garde à vue à la section de recherche de la gendarmerie de Corse, a précisé cette source.
Il était recherché dans le cadre de l'enquête de la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Marseille sur la tentative d'assassinat de Guy Orsoni, lui-même poursuivi dans différents dossiers de banditisme, le 13 septembre 2018 à Ajaccio.
Dans cette enquête, cinq personnes avaient été mises en examen, dont le chef présumé du Petit Bar, Jacques Santoni, le 1er octobre 2020, pour "complicité de tentative d'homicide en bande organisée avec préméditation", "association de malfaiteurs en vue de commettre un crime" et "recel en bande organisée de vol".
Le 28 septembre 2020, André Bacchiolelli avait échappé à un coup de filet policier, tout comme deux autres lieutenants de Jacques Santoni, Mickaël Ettori et Pascal Porri, bénéficiant vraisemblablement de fuites policières.
A la suite de ce coup de filet manqué, la police judiciaire en Corse avait été dessaisie au profit de la gendarmerie des enquêtes concernant le Petit Bar, enquêtes qui portent également sur un volet financier avec des accusations de blanchiment.
Soupçonné d'être l'auteur de ces fuites, un policier d'Ajaccio avait ensuite été mis en examen en avril dernier à Marseille pour "corruption passive".
Née au début des années 2000, la bande du "Petit Bar", du nom d'un café du cours Napoléon à Ajaccio où ses membres se réunissaient, est considérée depuis plusieurs années par les autorités comme un puissant groupe criminel corse. Il est soupçonné de trafic de stupéfiants, d'assassinats, d'extorsion et de blanchiment d'argent à l'échelle internationale et plusieurs de ses membres présumés sont poursuivis par la justice.
André Bacchiolelli fait ainsi partie des trois membres présumés de la bande du "Petit Bar" pour lesquels le parquet de Marseille, en mars, a requis un procès aux assises dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat du bâtonnier Antoine Sollacaro en 2012 à Ajaccio.
L'accusation a réclamé sa comparution devant les assises des Bouches-du-Rhône pour "association de malfaiteurs en vue de la préparation de ce meurtre, en état de récidive légale", mais aussi pour "tentative d'assassinat et association de malfaiteurs" dans la tentative d'assassinat sur Charles Cervoni en septembre 2012, une affaire jointe à l'instruction Sollacaro.
Il était recherché dans le cadre de l'enquête de la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Marseille sur la tentative d'assassinat de Guy Orsoni, lui-même poursuivi dans différents dossiers de banditisme, le 13 septembre 2018 à Ajaccio.
Dans cette enquête, cinq personnes avaient été mises en examen, dont le chef présumé du Petit Bar, Jacques Santoni, le 1er octobre 2020, pour "complicité de tentative d'homicide en bande organisée avec préméditation", "association de malfaiteurs en vue de commettre un crime" et "recel en bande organisée de vol".
Le 28 septembre 2020, André Bacchiolelli avait échappé à un coup de filet policier, tout comme deux autres lieutenants de Jacques Santoni, Mickaël Ettori et Pascal Porri, bénéficiant vraisemblablement de fuites policières.
A la suite de ce coup de filet manqué, la police judiciaire en Corse avait été dessaisie au profit de la gendarmerie des enquêtes concernant le Petit Bar, enquêtes qui portent également sur un volet financier avec des accusations de blanchiment.
Soupçonné d'être l'auteur de ces fuites, un policier d'Ajaccio avait ensuite été mis en examen en avril dernier à Marseille pour "corruption passive".
Née au début des années 2000, la bande du "Petit Bar", du nom d'un café du cours Napoléon à Ajaccio où ses membres se réunissaient, est considérée depuis plusieurs années par les autorités comme un puissant groupe criminel corse. Il est soupçonné de trafic de stupéfiants, d'assassinats, d'extorsion et de blanchiment d'argent à l'échelle internationale et plusieurs de ses membres présumés sont poursuivis par la justice.
André Bacchiolelli fait ainsi partie des trois membres présumés de la bande du "Petit Bar" pour lesquels le parquet de Marseille, en mars, a requis un procès aux assises dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat du bâtonnier Antoine Sollacaro en 2012 à Ajaccio.
L'accusation a réclamé sa comparution devant les assises des Bouches-du-Rhône pour "association de malfaiteurs en vue de la préparation de ce meurtre, en état de récidive légale", mais aussi pour "tentative d'assassinat et association de malfaiteurs" dans la tentative d'assassinat sur Charles Cervoni en septembre 2012, une affaire jointe à l'instruction Sollacaro.