Le bâtiment qui se trouve boulevard Louis Campi à Ajaccio, était occupé par 36 personnes au moment des faits. Dès que l'alerte a été lancée, vers 11 heures, suite à un éboulement de terrain de quelques mètres survenu sous l'habitation, un protocole de sécurité a été déclenché. 23 logements du coté est du braiment ont été évacués par les sapeurs-pompiers et les agents du service technique de la mairie.
Dans l'après-midi un géotechnicien expert en bâtiment et des techniciens du bureau de contrôle de l'APAVE ont vérifié la structure et devaient décider si les occupants pouvaient réintégrer ou pas leurs logements mais ce samedi soir leur rapport n'avait pas encore été remis aux autorités, ont indiqué le sous-préfet de Sartène, Gaël Rousseau, et Jean-Joseph Folacci, directeur général des services techniques due la mairie d'Ajaccio, qui ont passé la journée sur place où une cellule de crise a été ouverte avec un point de rassemblement des victimes.
La municipalité a immédiatement ouvert un centre d'hébergement temporaire à l'école Salines 6 pour y accueillir les habitants qui n'ont pas pu aller chez des proches. Des solutions de relogement avaient été mises en place mais les personnes évacuées "n'ont pas souhaité être relogées par la commune."
Dans l'après-midi un géotechnicien expert en bâtiment et des techniciens du bureau de contrôle de l'APAVE ont vérifié la structure et devaient décider si les occupants pouvaient réintégrer ou pas leurs logements mais ce samedi soir leur rapport n'avait pas encore été remis aux autorités, ont indiqué le sous-préfet de Sartène, Gaël Rousseau, et Jean-Joseph Folacci, directeur général des services techniques due la mairie d'Ajaccio, qui ont passé la journée sur place où une cellule de crise a été ouverte avec un point de rassemblement des victimes.
La municipalité a immédiatement ouvert un centre d'hébergement temporaire à l'école Salines 6 pour y accueillir les habitants qui n'ont pas pu aller chez des proches. Des solutions de relogement avaient été mises en place mais les personnes évacuées "n'ont pas souhaité être relogées par la commune."