La cérémonie de passation de commandement s’est déroulée mardi en fin de matinée à la base d’Asprettu en présence des autorités civiles et militaires de la région.
Un authentique baroudeur…
Entré à l’École Navale en 1982, Le capitaine de vaisseau Bertrand de Gaullier des Bordes a eu une carrière variée, alternant les fonctions au sein de la marine Nationale et des forces spéciales et à l’étranger. Il a effectué plusieurs embarcations sur les bâtiments de la marine nationale. Au sein des forces spéciales, il a servi aux commandos « Jaubert » et « Hubert » au Comusnavcent, au commandement des opérations spéciales, à l’état-major des armées. Il a participé au cours de sa carrière à de nombreuses missions opérationnelles dans les forces spéciales (notamment en Afghanistan, en Afrique et en Irak) et à bord des bâtiments de la marine (il a entre autre commandé le transport de chalands de débarquement « Orage »). Il a de plus assumé d’importantes responsabilités dans différents états-majors. Il est marié et père de quatre enfants.
Trois jours à la dérive…
Rappelons que le capitaine de vaisseau Bertrand de Gaullier des Bordes a été engagé sur la plupart des théâtres d’opérations extérieurs, en ex-Yougoslavie, au proche et Moyen Orient et en Afrique. Précisons enfin qu’il y a quelques années, il a participé à la traversée de l’océan à la rame. Sa tentative a échoué dans la tempête. Son bateau s’est retourné et Bertand de Gaullier des Bordes a resté trois jours en dérive totale, accroché à sa coquille de noix en attendant les secours.
Mardi, en prenant ses nouvelles fonctions, il a été fait Commandeur de la Légion d’Honneur par le vice-amiral d’escadre, Charle-Henri de la Faverie du Ché, commandant de la zone et de l’arrondissement maritimes Méditerranée et de préfet maritime de la Méditerranée.
J. F.
Un authentique baroudeur…
Entré à l’École Navale en 1982, Le capitaine de vaisseau Bertrand de Gaullier des Bordes a eu une carrière variée, alternant les fonctions au sein de la marine Nationale et des forces spéciales et à l’étranger. Il a effectué plusieurs embarcations sur les bâtiments de la marine nationale. Au sein des forces spéciales, il a servi aux commandos « Jaubert » et « Hubert » au Comusnavcent, au commandement des opérations spéciales, à l’état-major des armées. Il a participé au cours de sa carrière à de nombreuses missions opérationnelles dans les forces spéciales (notamment en Afghanistan, en Afrique et en Irak) et à bord des bâtiments de la marine (il a entre autre commandé le transport de chalands de débarquement « Orage »). Il a de plus assumé d’importantes responsabilités dans différents états-majors. Il est marié et père de quatre enfants.
Trois jours à la dérive…
Rappelons que le capitaine de vaisseau Bertrand de Gaullier des Bordes a été engagé sur la plupart des théâtres d’opérations extérieurs, en ex-Yougoslavie, au proche et Moyen Orient et en Afrique. Précisons enfin qu’il y a quelques années, il a participé à la traversée de l’océan à la rame. Sa tentative a échoué dans la tempête. Son bateau s’est retourné et Bertand de Gaullier des Bordes a resté trois jours en dérive totale, accroché à sa coquille de noix en attendant les secours.
Mardi, en prenant ses nouvelles fonctions, il a été fait Commandeur de la Légion d’Honneur par le vice-amiral d’escadre, Charle-Henri de la Faverie du Ché, commandant de la zone et de l’arrondissement maritimes Méditerranée et de préfet maritime de la Méditerranée.
J. F.
Bon à savoir
(Photos Michel Luccioni)
Historiquement base aéronavale d’hydravions, la BN d'Asprettu, a été créée lors de la première guerre mondiale. Elle est d’ailleurs classée comme « port militaire » depuis le 23 décembre 2016 assure de nombreuses missions :
- Etre un terrain de soutien avancé et de pré-positionnement pour faire face aux menaces maritimes potentielles aux larges des côtes de la Corse (pollutions maritimes, terrorisme maritime, etc.)
- Un soutien aux administrations intervenant dans le cadre de l’Action de l’Etat en Mer
- Le soutien technique aux activités de la Marine en Corse comme les bâtiments en escale et les 7 sémaphores qui assurent la surveillance des 1000 km de littoral de la côte Corse.