Faire gagner du temps aux soignants, c'était l'objectif de Ghjuvanni Zeni, Alexandra Cherenti et Pascal Quilici, tous trois étudiants en licence 3 d'économie et gestion à l'Université de Corte. Ainsi, ces trois jeunes âgés de 20 ans ont décidé de créer "Simple Health", un bracelet connecté pour surveiller les constantes vitales des patients.
Au départ, ce projet était à destination des milieux hospitaliers mais très vite l'équipe d'étudiants s'est rendue compte que ce bracelet pouvait très bien être employé par les infirmiers et médecins généralistes.
"Avec la crise sanitaire, le port du bracelet permet d'éviter le contact physique et la propagation du virus entre le patient et le soignant.", explique Pascal Quilici.
Le bracelet relève les constantes vitales comme le pouls, la tension, la saturation pulsée en oxygène, la fréquence cardiaque mais aussi le taux glycémique. L'objet chauffe et la sueur qui se dégage du patient diabétique, permet d’avoir une approximation du taux de sucre dans le sang. Sans écran apparent, le bracelet envoie toutes les données récupérées grâce à des capteurs optiques et les transmet sur un cloud de l'hôpital. Un gain de temps précieux pour les soignants et surtout les "infirmiers dans le milieu rural qui pourront prendre plus de temps pour parler avec le patient plutôt que de courir à droite et à gauche."
Depuis le concours, "Simple Health" a été contactée par de nombreuses filières mais aussi par l'incubateur d'entreprises corses "Inizia". Les trois étudiants espèrent pouvoir continuer ce projet l’an prochain. "Si le secteur et le marché le permettent, pourquoi pas poursuivre ce projet ?", interroge, plein d'espor; Pascal Quilici.
Au départ, ce projet était à destination des milieux hospitaliers mais très vite l'équipe d'étudiants s'est rendue compte que ce bracelet pouvait très bien être employé par les infirmiers et médecins généralistes.
"Avec la crise sanitaire, le port du bracelet permet d'éviter le contact physique et la propagation du virus entre le patient et le soignant.", explique Pascal Quilici.
Le bracelet relève les constantes vitales comme le pouls, la tension, la saturation pulsée en oxygène, la fréquence cardiaque mais aussi le taux glycémique. L'objet chauffe et la sueur qui se dégage du patient diabétique, permet d’avoir une approximation du taux de sucre dans le sang. Sans écran apparent, le bracelet envoie toutes les données récupérées grâce à des capteurs optiques et les transmet sur un cloud de l'hôpital. Un gain de temps précieux pour les soignants et surtout les "infirmiers dans le milieu rural qui pourront prendre plus de temps pour parler avec le patient plutôt que de courir à droite et à gauche."
Depuis le concours, "Simple Health" a été contactée par de nombreuses filières mais aussi par l'incubateur d'entreprises corses "Inizia". Les trois étudiants espèrent pouvoir continuer ce projet l’an prochain. "Si le secteur et le marché le permettent, pourquoi pas poursuivre ce projet ?", interroge, plein d'espor; Pascal Quilici.