
Pas contents, c'est le moins que l'on puisse écrire le Groupement Régional des Producteurs de Fourrage de Corse (GRPF de Corse) le Groupement Régional des Céréaliers de Corse (GRC de Corse), l'Interprofession Laitière Ovine et Caprine de Corse (ILOCC) et l'Organisation des Maraîchers de Corse (OMC).
Ils pestent tous contre contre un arrêté qu'ils jugent "discriminatoire" et qui a "pour but d’opposer les filières agricoles entre elles et de
stigmatiser les cultures fourragères et maraichères en les désignant comme responsable du niveau alarmant des réserves d’eau dans les stockages gérés par l’OEHC" dénoncent en chœur Tony Fazi, président du GRPF, Jean-Louis Paoli, président de l'ILOCC, Ange-Noël Luiggi, président du GRC et Jean-Jacques Fieschi, président de l"OMC
Ils expliquent que "les cultures fourragères, céréalières et maraichères sont au centre des préoccupations d’autonomie alimentaire de l’île, leurs productions étant destinées au marché insulaire" et que sans "ces productions de céréales et de fourrages, les éleveurs locaux seraient dans l’obligation d’avoir recours à l’importation, avec des prix à la tonne beaucoup plus élevés que ce qui est pratiqué ici. De plus, la mise en place de prairies dès la fin d’été pour la phase de mise bas des brebis est primordiale pour la future campagne de lactation. Une mauvaise préparation de mise bas aura des conséquences très importantes tout au long de la campagne laitière sur nos exploitations d’élevage."
Les quatre présidents rappellent aussi que "ces filières ont toujours fait des efforts pour gérer l’eau de manière raisonnée notamment en modernisant leurs outils d’irrigation et de pilotage de l’eau.
En ce qui concerne la filière fourrage, ces efforts ont été faits par les producteurs, alors même que le revenu par hectare de la filière est parmi les plus faibles, toutes filières agricoles confondues (d’autant plus cette année où nous subissons une hausse du prix des intrants : fertilisation, carburant, etc.)"
Et Tony Fazi, Jean-Louis Paoli, Ange-Noël Luiggi et Jean-Jacques Fieschi de conclure mais aussi de prévenir: "Nous demandons de toute urgence par la voie de ce communiqué une réunion de travail avec les services concernés : OEHC, ODARC, préfecture et Chambre d’Agriculture.
"En attendant la tenue de cette réunion, nous ne tolérerons aucune sanction sur nos exploitations."
Ils pestent tous contre contre un arrêté qu'ils jugent "discriminatoire" et qui a "pour but d’opposer les filières agricoles entre elles et de
stigmatiser les cultures fourragères et maraichères en les désignant comme responsable du niveau alarmant des réserves d’eau dans les stockages gérés par l’OEHC" dénoncent en chœur Tony Fazi, président du GRPF, Jean-Louis Paoli, président de l'ILOCC, Ange-Noël Luiggi, président du GRC et Jean-Jacques Fieschi, président de l"OMC
Ils expliquent que "les cultures fourragères, céréalières et maraichères sont au centre des préoccupations d’autonomie alimentaire de l’île, leurs productions étant destinées au marché insulaire" et que sans "ces productions de céréales et de fourrages, les éleveurs locaux seraient dans l’obligation d’avoir recours à l’importation, avec des prix à la tonne beaucoup plus élevés que ce qui est pratiqué ici. De plus, la mise en place de prairies dès la fin d’été pour la phase de mise bas des brebis est primordiale pour la future campagne de lactation. Une mauvaise préparation de mise bas aura des conséquences très importantes tout au long de la campagne laitière sur nos exploitations d’élevage."
Les quatre présidents rappellent aussi que "ces filières ont toujours fait des efforts pour gérer l’eau de manière raisonnée notamment en modernisant leurs outils d’irrigation et de pilotage de l’eau.
En ce qui concerne la filière fourrage, ces efforts ont été faits par les producteurs, alors même que le revenu par hectare de la filière est parmi les plus faibles, toutes filières agricoles confondues (d’autant plus cette année où nous subissons une hausse du prix des intrants : fertilisation, carburant, etc.)"
Et Tony Fazi, Jean-Louis Paoli, Ange-Noël Luiggi et Jean-Jacques Fieschi de conclure mais aussi de prévenir: "Nous demandons de toute urgence par la voie de ce communiqué une réunion de travail avec les services concernés : OEHC, ODARC, préfecture et Chambre d’Agriculture.
"En attendant la tenue de cette réunion, nous ne tolérerons aucune sanction sur nos exploitations."