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Yvan Colonna, hospitalisé à Marseille dans le coma, a été victime "d'une strangulation à main nues, puis d'un étouffement" de la part d'un codétenu à la prison d'Arles (Bouches-du-Rhône), a annoncé mercredi le procureur de Tarascon.
"A ce stade, le mobile de l’agression est inconnu. Aucun incident en détention n’avait été signalé entre le détenu et la victime", a poursuivi le procureur Laurent Gumbau, précisant que les secours avaient pratiqué un massage cardiaque "moins de trois minutes après l'alerte" et la découverte d'Yvan Colonna inanimé.
Il apparaît alors qu'Yvan Colonna était en train de faire une séance de sport à la prison d'Arles, là où il est incarcéré, alors qu'il s'est fait attaquer. "L’agresseur supposé, lui-même détenu, assurait un service d’entretien en qualité d’auxiliaire d’étage au moment des faits", rapporte le procureur. Il a été placé en garde à vue pour "tentative d’assassinat" par "la brigade criminelle de la direction zonale de la police judiciaire Sud."
Selon les premières données de l'enquête, Yvan Colonna a été la cible d’une "strangulation à mains nues" et d’un "étouffement". Après avoir été découvert inanimé par un surveillant, il a reçu un massage cardiaque prodigué par les secours de l'établissement pénitentiaire, très rapidement. "À l’arrivée des pompiers puis du SMUR, Yvan Colonna était médicalisé sur place alors qu’il se trouvait en arrêt cardiaque et respiratoire. Les réanimateurs parvenaient à relancer l’activité cardiaque", détaille le procureur. Il a été transporté au centre hospitalier d’Arles puis transféré à Marseille, et se trouve maintenant en coma post anoxique.
"Aucun incident" n'avait été signalé avec le codétenu qui a attaqué Yvan Colonna ce mercredi a indiqué le procureur de la République qui a annoncé que "le parquet national antiterroriste a été contacté au regard des antécédents du mis en cause."
"A ce stade, le mobile de l’agression est inconnu. Aucun incident en détention n’avait été signalé entre le détenu et la victime", a poursuivi le procureur Laurent Gumbau, précisant que les secours avaient pratiqué un massage cardiaque "moins de trois minutes après l'alerte" et la découverte d'Yvan Colonna inanimé.
Il apparaît alors qu'Yvan Colonna était en train de faire une séance de sport à la prison d'Arles, là où il est incarcéré, alors qu'il s'est fait attaquer. "L’agresseur supposé, lui-même détenu, assurait un service d’entretien en qualité d’auxiliaire d’étage au moment des faits", rapporte le procureur. Il a été placé en garde à vue pour "tentative d’assassinat" par "la brigade criminelle de la direction zonale de la police judiciaire Sud."
Selon les premières données de l'enquête, Yvan Colonna a été la cible d’une "strangulation à mains nues" et d’un "étouffement". Après avoir été découvert inanimé par un surveillant, il a reçu un massage cardiaque prodigué par les secours de l'établissement pénitentiaire, très rapidement. "À l’arrivée des pompiers puis du SMUR, Yvan Colonna était médicalisé sur place alors qu’il se trouvait en arrêt cardiaque et respiratoire. Les réanimateurs parvenaient à relancer l’activité cardiaque", détaille le procureur. Il a été transporté au centre hospitalier d’Arles puis transféré à Marseille, et se trouve maintenant en coma post anoxique.
"Aucun incident" n'avait été signalé avec le codétenu qui a attaqué Yvan Colonna ce mercredi a indiqué le procureur de la République qui a annoncé que "le parquet national antiterroriste a été contacté au regard des antécédents du mis en cause."
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