La plateforme Arcadium a fait découvrir l'esport à des élèves du Lycée Laetitia d'Ajaccio.
Discipline à part entière, l’Esport ou encore jeu vidéo en compétition connait un véritable essor depuis plusieurs années. Cette pratique d’un jeu video, seul ou en équipe, sur ordinateur ou sur console de jeux video recensait en 2023, plus de 500 millions d’adeptes dans le monde entier. Surfant sur le développement de la discipline, Alexandre Quaglieri, le fondateur d’Arcadium depuis 2019, explique sa démarche : « Après plusieurs années de rugby, je me suis mis à l’Esport, où j’ai retrouvé certaines valeurs comme l’esprit d’équipe, les entrainements, le dépassement de soi et aller se mesurer dans les compétitions. Je trouvais qu’il manquait un encadrement, et c’était donc très dur de gérer les équipes, et j’ai donc eu l’idée de fonder Arcadium. Cette plateforme permet de bénéficier d’un encadrement comme on pourrait l’avoir dans un sport plus traditionnel. Aujourd’hui, nous avons une quarantaine d’équipe et plus de 400 joueurs qui s’affrontent lors de tournois que nous organisons, au sein d’équipes systématiquement encadrées. Chez nous aucun joueur n’est livré à lui-même, cela n’existe pas ».
Les mêmes problématiques qu’un sport plus traditionnel
Incubée par Inizià, la plateforme ajaccienne regroupe des joueurs, pour la plupart issus du Sud de la France, et ajoute une certaine plus-value aux adeptes de la discipline : « C’est une safe place, un endroit sain où les joueurs vont pouvoir pratiquer cet aspect collectif et compétitif et avoir des gens qui permettent de créer une cohésion d’équipe. Sans coach, il va être difficile d’inculquer un esprit d’équipe et de gérer les conflits entre joueurs, comme dans un sport traditionnel là aussi ».
Les mêmes problématiques qu’un sport plus traditionnel
Incubée par Inizià, la plateforme ajaccienne regroupe des joueurs, pour la plupart issus du Sud de la France, et ajoute une certaine plus-value aux adeptes de la discipline : « C’est une safe place, un endroit sain où les joueurs vont pouvoir pratiquer cet aspect collectif et compétitif et avoir des gens qui permettent de créer une cohésion d’équipe. Sans coach, il va être difficile d’inculquer un esprit d’équipe et de gérer les conflits entre joueurs, comme dans un sport traditionnel là aussi ».
Ce vendredi après-midi, les responsables d’Arcadium étaient les invités du lycée Laetitia Bonaparte afin de présenter les dangers mais aussi les débouchés de l’Esport à quelques dizaines de lycéens : « L’idée c’est de leur faire découvrir l’Esport et les métiers autour de la discipline, comme les coachs, manager, directeurs qui sont assez méconnus. Mais nous sommes aussi là pour les sensibiliser à la pratique du jeu vidéo et leur expliquer qu’il peut exister des dérives qu’il faut combattre » ajoute Pierre Pastor, Chef de projet au sein de la plateforme.
Joseph-Antoine Cesari, professeur de Maths et de la spécialité numérique et sciences informatiques, veut aussi faire connaitre cette nouvelle filière, méconnue et pleine de débouchés : « Depuis la création de cette filière, nous avons une quinzaine d’élèves qui choisissent cette spécialité à partir de la Première, comme l’exige la nouvelle réforme, c’est trop peu au vu des enjeux numériques qui nous attendent. Nous avons voulu, par le biais de cet après-midi ludique, faire connaitre aux lycéens les débouchés possibles dans l’Esport. Mais, évidemment ce n’est qu’une infime partie de tous les métiers du numériques, peut-être que cela créera des vocations, on l’espère ». Après un atelier interactif, les étudiants ont pu s’affronter dans un tournoi de type « gaming », commenté par un caster, qui leur a permis de découvrir également les besoins techniques et humaines nécessaires à leur organisation.
Joseph-Antoine Cesari, professeur de Maths et de la spécialité numérique et sciences informatiques, veut aussi faire connaitre cette nouvelle filière, méconnue et pleine de débouchés : « Depuis la création de cette filière, nous avons une quinzaine d’élèves qui choisissent cette spécialité à partir de la Première, comme l’exige la nouvelle réforme, c’est trop peu au vu des enjeux numériques qui nous attendent. Nous avons voulu, par le biais de cet après-midi ludique, faire connaitre aux lycéens les débouchés possibles dans l’Esport. Mais, évidemment ce n’est qu’une infime partie de tous les métiers du numériques, peut-être que cela créera des vocations, on l’espère ». Après un atelier interactif, les étudiants ont pu s’affronter dans un tournoi de type « gaming », commenté par un caster, qui leur a permis de découvrir également les besoins techniques et humaines nécessaires à leur organisation.
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