Plusieurs membres du collectif "Maffia No Vita Iè" lors de la conférence de presse de ce 29 septembre
Dernière "attaque" en date, selon Léo Battesti, un article paru ce mardi sur Corse-Matin dans lequel le journal affirme que le président de la Ligue corse des échecs serait visé par une enquête préliminaire pour "abus de biens sociaux" et "d'abus de confiance".
En effet, en janvier dernier une lettre anonyme avait été envoyée aux média corses et aux autorités judiciaires pour dénoncer l'implication de Léo Battesti dans une affaire de "détournement de fonds" entre la Corsica Chess Club, association affiliée à la Fédération française des échecs, et sa société événementielle Corsica Flash. "Mais si à l'époque aucun média n'avait donné suite à ce courrier qui contenait des informations infondées, pourquoi le faire aujourd'hui ?" interroge Léo Battesti.
Entouré de quelques membres du collectif A Maffia nò, a Vita iè, il dénonce donc « des attaques personnelles » et « des manipulations contre le collectif A maffia nò, a Vita iè qui visent à le salir », de la part de la direction du quotidien qui a choisi de placer cet article juste à côté de celui qui relate la série d’interpellations qui ont eu lieu à Ajaccio à la suite de la tentative de meurtre de Guy Orsoni.
Selon le cofondateur du collectif anti mafia, ce sont les sollicitations des journalistes qui auraient poussé la magistrature à se saisir de l'affaire. Sur place Corse-Matin se défend en précisant que "la rédaction a toujours été présente pour parler de l’actualité du collectif A maffia nò, a Vita iè.»
Contacté par la rédaction de CNI le parquet de Bastia confirme que des vérifications sur ce dossier sont engagées depuis longtemps, bien avant son arrivée à Bastia il y a un mois, et que "peut être il y aura des auditions". Mais pour le moment Arnaud Viornery, qui souligne ne pas vouloir discréditer Léo Battesti , ne veut pas en dire plus.
En effet, en janvier dernier une lettre anonyme avait été envoyée aux média corses et aux autorités judiciaires pour dénoncer l'implication de Léo Battesti dans une affaire de "détournement de fonds" entre la Corsica Chess Club, association affiliée à la Fédération française des échecs, et sa société événementielle Corsica Flash. "Mais si à l'époque aucun média n'avait donné suite à ce courrier qui contenait des informations infondées, pourquoi le faire aujourd'hui ?" interroge Léo Battesti.
Entouré de quelques membres du collectif A Maffia nò, a Vita iè, il dénonce donc « des attaques personnelles » et « des manipulations contre le collectif A maffia nò, a Vita iè qui visent à le salir », de la part de la direction du quotidien qui a choisi de placer cet article juste à côté de celui qui relate la série d’interpellations qui ont eu lieu à Ajaccio à la suite de la tentative de meurtre de Guy Orsoni.
Selon le cofondateur du collectif anti mafia, ce sont les sollicitations des journalistes qui auraient poussé la magistrature à se saisir de l'affaire. Sur place Corse-Matin se défend en précisant que "la rédaction a toujours été présente pour parler de l’actualité du collectif A maffia nò, a Vita iè.»
Contacté par la rédaction de CNI le parquet de Bastia confirme que des vérifications sur ce dossier sont engagées depuis longtemps, bien avant son arrivée à Bastia il y a un mois, et que "peut être il y aura des auditions". Mais pour le moment Arnaud Viornery, qui souligne ne pas vouloir discréditer Léo Battesti , ne veut pas en dire plus.