La famille ne comprend pas notamment pourquoi alors que "jusqu'à présent les demandes de libération de M. Cazalas étaient refusées" comment "une semaine après, suite à la médiatisation, appel aux députés Jean Félix Acquaviva et Michel Castellani ainsi qu'au garde des sceaux par ses avocats, Cazalas à été libéré malgré des réticences, malgré les documents d'expertise démontrant les mensonges concernant son état de santé."
La famille soutient en effet - texte d'expertise à l'appui - que "Cazalas a déjà refusé une greffe lorsqu'il était incarcéré et affirme que l'accusé "n'est pas en fin de vie, comme ont pu le dire ses avocats."
Pour les proches d’Arnaud Girard, M. Cazalas "fait du chantage en ne voulant se soigner qu'en étant libre et en refusant les soins s'il restait incarcéré".
Actuellement, paradoxalement avec "l'urgence de ses soins" il est dehors sans que nous sachions où et toujours pas hospitalisé car il a été remis en liberté alors qu'il n'avait même pas de place sûre pour être à l'hôpital "de son choix" ajoutent-ils dans cette même déclaration (voir-ci-dessous)
La famille déplore un peu plus loin le fait que l'accusé "soit libre seulement 2 ans et demi après avoir commis un crime crapuleux, auprès des siens et qu'il ne sera sans doute jamais traduit devant la justice. Nous n'avons droit à aucun recours bien sûr. seul M. Cazalas y a droit !"
"Après 2 ans et demi d'attente de jugement, on nous demande d'accepter en tant que famille de la victime" et l'on demande la même chose, "à sa fille de 10 ans qui a vécu l'horreur à 8 ans en se demandant pendant 2 mois où était son papa, en apprenant par la suite que son papa avait été tué et son corps dissimulé (tout ça bien sûr, sans se préoccuper de son état de santé à elle !)
"Nous ne cesserons pas de faire valoir le peu de droits que nous avons. par tous les moyens possibles" conclut la famille en citant Albert Camus :
"Seule la vérité peut affronter l'injustice."
La famille soutient en effet - texte d'expertise à l'appui - que "Cazalas a déjà refusé une greffe lorsqu'il était incarcéré et affirme que l'accusé "n'est pas en fin de vie, comme ont pu le dire ses avocats."
Pour les proches d’Arnaud Girard, M. Cazalas "fait du chantage en ne voulant se soigner qu'en étant libre et en refusant les soins s'il restait incarcéré".
Actuellement, paradoxalement avec "l'urgence de ses soins" il est dehors sans que nous sachions où et toujours pas hospitalisé car il a été remis en liberté alors qu'il n'avait même pas de place sûre pour être à l'hôpital "de son choix" ajoutent-ils dans cette même déclaration (voir-ci-dessous)
La famille déplore un peu plus loin le fait que l'accusé "soit libre seulement 2 ans et demi après avoir commis un crime crapuleux, auprès des siens et qu'il ne sera sans doute jamais traduit devant la justice. Nous n'avons droit à aucun recours bien sûr. seul M. Cazalas y a droit !"
"Après 2 ans et demi d'attente de jugement, on nous demande d'accepter en tant que famille de la victime" et l'on demande la même chose, "à sa fille de 10 ans qui a vécu l'horreur à 8 ans en se demandant pendant 2 mois où était son papa, en apprenant par la suite que son papa avait été tué et son corps dissimulé (tout ça bien sûr, sans se préoccuper de son état de santé à elle !)
"Nous ne cesserons pas de faire valoir le peu de droits que nous avons. par tous les moyens possibles" conclut la famille en citant Albert Camus :
"Seule la vérité peut affronter l'injustice."