Plus qu’un don matériel, un vrai don philanthrope pour sa ville et le don de soi, celui d’un passionné ! C’est ce que ce 15 juin ont fait François et Marie-Jeanne Ollandini envers la ville d’Ajaccio en léguant le fameux Lazaret Ollandini-Musée Marc Petit à la Ville pour un musée de la peinture corse en devenir.
Comme à son habitude, le maître des lieux depuis 1996, François Ollandini, a plaisanté jusqu’à la signature devant le notaire Olivier Le Hay, interpellant son épouse. « Marie-Jeanne, je signe ? ». Ce dernier a en effet rappelé devant l’assemblée et ses enfants présents tout le sens de sa vie de son parcours et tout l’amour qu’il avait mis lui et sa moitié dans ce lieu historique.
« En regardant les lignes architecturales de ce lazaret construit tel une sculpture, l’œil sera à la fois étonné et ravi. Ce lazaret construit en 1847 a été ruiné mais toujours débout et nous l’avons réhabilité mais il doit continuer à survivre, et c’est l’essence même de notre « mortel éternité ».
C’est très ému que le Maire d’Ajaccio a prononcé des mots forts qu’ils voulaient justes : « MERCI ! Merci pour la confiance que vous accordez à la Ville d’Ajaccio, à ce que vous donnez depuis longtemps. Vous avez donné, et cela, est tout un symbole. Donner une vie de travail, d’amour de l’art, et, vous, avez été modeste, surtout d’amour de votre ville Ajaccio. Je saurai m’en montré digne. Et je ferai en sorte que mes successeurs le fassent ».
Des promesses historiques et humaines que chacun et chacune portent sur Ajaccio quand public et privé convergent.
Bref, un bâtiment historique qui d’une pierre privée entre dans l’histoire publique.
Comme à son habitude, le maître des lieux depuis 1996, François Ollandini, a plaisanté jusqu’à la signature devant le notaire Olivier Le Hay, interpellant son épouse. « Marie-Jeanne, je signe ? ». Ce dernier a en effet rappelé devant l’assemblée et ses enfants présents tout le sens de sa vie de son parcours et tout l’amour qu’il avait mis lui et sa moitié dans ce lieu historique.
« En regardant les lignes architecturales de ce lazaret construit tel une sculpture, l’œil sera à la fois étonné et ravi. Ce lazaret construit en 1847 a été ruiné mais toujours débout et nous l’avons réhabilité mais il doit continuer à survivre, et c’est l’essence même de notre « mortel éternité ».
C’est très ému que le Maire d’Ajaccio a prononcé des mots forts qu’ils voulaient justes : « MERCI ! Merci pour la confiance que vous accordez à la Ville d’Ajaccio, à ce que vous donnez depuis longtemps. Vous avez donné, et cela, est tout un symbole. Donner une vie de travail, d’amour de l’art, et, vous, avez été modeste, surtout d’amour de votre ville Ajaccio. Je saurai m’en montré digne. Et je ferai en sorte que mes successeurs le fassent ».
Des promesses historiques et humaines que chacun et chacune portent sur Ajaccio quand public et privé convergent.
Bref, un bâtiment historique qui d’une pierre privée entre dans l’histoire publique.