(Archives CNI)
Depuis le jeudi 1er octobre, 80% des personnels de la plateforme de distribution de la Poste d’Ajaccio sont en grève à l’appel de la CGT, syndicat majoritaire. En cause, les conditions de travail.
Les salariés demandent notamment un calendrier pour les travaux d’extension du bâtiment, qui date des années 70, et qui est jugé aujourd’hui trop exigu.
La CGT s’interroge également sur le calendrier et la nature de la réorganisation de l’établissement : « On doute qu’elle sera faite comme convenu en mars, et on doute qu’il y a aura des créations de postes » indique Rudy Albertini, secrétaire départemental de la CGT Corse-du-Sud. Enfin, les salariés grévistes protestent contre la suppression des seuils, « un moyen pour les bas salaires d’amélioration du quotidien qui n’existera plus » explique le syndicaliste.
Malgré plusieurs heures de négociations entamées avec la directrice de l’établissement ainsi que le directeur régional, pour la CGT le personnel n’est aujourd'hui pas satisfait, estimant n’avoir rien obtenu de concret. Si le travail reprend ce samedi 3 octobre, un nouveau préavis illimité est déposé pour le jeudi 8. « Je pense qu’il faut s’attendre à un durcissement dans les jours à venir » estime Rudy Albertini.
Les salariés demandent notamment un calendrier pour les travaux d’extension du bâtiment, qui date des années 70, et qui est jugé aujourd’hui trop exigu.
La CGT s’interroge également sur le calendrier et la nature de la réorganisation de l’établissement : « On doute qu’elle sera faite comme convenu en mars, et on doute qu’il y a aura des créations de postes » indique Rudy Albertini, secrétaire départemental de la CGT Corse-du-Sud. Enfin, les salariés grévistes protestent contre la suppression des seuils, « un moyen pour les bas salaires d’amélioration du quotidien qui n’existera plus » explique le syndicaliste.
Malgré plusieurs heures de négociations entamées avec la directrice de l’établissement ainsi que le directeur régional, pour la CGT le personnel n’est aujourd'hui pas satisfait, estimant n’avoir rien obtenu de concret. Si le travail reprend ce samedi 3 octobre, un nouveau préavis illimité est déposé pour le jeudi 8. « Je pense qu’il faut s’attendre à un durcissement dans les jours à venir » estime Rudy Albertini.